Et si les "parents mous" qu'on pointe du doigt étaient en réalité les super-héros discrets d'une génération sacrifiée ? Dans un monde qui craque de toutes parts, les milléniaux absorbent les chocs pour leurs enfants, réparent les failles du passé et inventent un avenir plus doux.
Imaginez : des espions de la DGSE, des gendarmes du GIGN, des officiers de la DGSI, et même les protecteurs les plus proches de l'Élysée, traqués non par des drones russes ou des agents chinois, mais par... leurs propres smartphones.
Depuis mars 2020, nous sommes à un niveau d’injonction paradoxale encore jamais atteint.
En effet, il est écrit dans les livres d’histoires de 6ème au collège que le confinement est un acte citoyen, alors que ce dernier apporte des conséquences délétères sur le développement psychoaffectif de ces jeunes futurs citoyens.
Des milliers de praticiens et la société française de pédiatrie confirment dans une étude très récente que :
80 % des enfants sont gênés par le masque.
82 % d’entre eux ont des symptômes physiques (céphalées, vertiges, troubles du langage).
67 % ont des changements de comportements dus à des troubles du comportement à cause de ces rituels obsessionnels (désinfection, masque, gestes barrières, etc.).
Quelques cas tragiques :
Depuis février 2021, des cas de défenestrations ont été constatés chez les 7-11 ans, ce n’est pas un âge où l’on se suicide et depuis cette date, cette vague quant à elle n’est pas descendue.
25 % des hospitalisations en pédiatrie étaient des cas d’hospitalisation en pédopsychiatrie.
Des professionnels de la petite enfance, le collectif des orthophonistes et de santé pédiatrique ont constaté des retards de parole très importants chez les jeunes enfants.
Forcément, ces derniers apprennent à parler en lisant sur les lèvres, si elles sont cachées par un masque, alors cela entraine un appauvrissement extrême du champ lexical dès l’arrivée en maternelle.
La vague anxiogène liée au Covid s’est transformée en vague dépressive avec une augmentation des troubles du comportement alimentaire, des tristesses profondes, et autres angoissent.
De surcroît, les confinements ont fait rejaillir ce qu’il y avait de pire chez les gens : leurs tendances dépressives, leurs addictions, etc.
Pour les mineurs, les ouvertures et fermetures à répétition de leurs établissements scolaires n’ont pas été sans conséquence.
Abandon scolaire, décalage du rythme de vie, isolement, etc.
« Dans certains services, on observait une augmentation de 600% en pédopsychiatrie et cette vague n’a jamais diminué. 22% de points de QI en moins chez les enfants depuis le début de la crise ! »
À croire que tout ceci ne sert qu’à créer une future armée de golems parfaits.
Tout était annoncé dans la plus pessimiste des sciences-fictions
Conditionnement mental, destruction de l’esprit, le tout au nom de la vaccination
Voici ce que l’on a pu observer qui rentre totalement dans le programme :
Des pressions psychologiques pour l’isolement furent constatées.
Des dérives de maltraitances graves et avérées de la part de professeurs furent observées comme par exemple, le fait qu’ils collent au « scotch » (donc de force) les masques sur le nez des enfants si ces derniers les baissaient sous le nez.
Dessiner des cercles dans les cours de récréation pour empêcher les enfants de se toucher.
Dresser les vaccinées contre les non-vaccinés, alors que c’est un fait de notoriété publique que la vaccination n’empêche pas la propagation du virus.
Cela crée des pathologies mentales pour cette fameuse lutte contre la mort, développant progressivement une vision maladive du maintien de la vie « coûte que coûte ».
Ce qui est évidemment absurde, surtout pour les enfants, car avoir des contacts humains n’est pas dangereux, stimule l’immunité, et permet de lutter contre la dépression.
En neurobiologie, le cerveau d’un enfant a besoin d’avoir des interactions sociales pour être stimulé, de même que d’échanger de l’affection physique et de faire du sport individuel ou collectif pour activer l’ocytocine qui est la cellule de l’attachement.
Les tests antigéniques quant à eux ont appris, pour beaucoup, qu’il est normal de se faire enfiler des touillettes à café dans le museau.
Et ainsi cela a banalisé les actes médicaux qui ne sont normalement pas anodins.
En effet, derrière la banalisation, on retrouve une progressive destruction de l’autorité parentale.
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
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