Un phénomène numérique remarquable est en train de se dérouler à l’échelle mondiale. Alors qu’Interpol a émis un avis de recherche rouge pour Alexandre Benalla, l’ancien chef de la sécurité du président français Emmanuel Macron, les autorités traditionnelles semblent buter sur des impasses.
La France traverse une vague de chaleur exceptionnelle, avec des températures dépassant les 40°C dans de nombreuses régions. Cette canicule, qui frappe en pleine période scolaire, expose les failles des écoles françaises, souvent mal équipées pour affronter de telles conditions extrêmes.
Dans un univers où les sphères de la télé-réalité, de la politique et du divertissement pour adultes se croisent de manière parfois déconcertante, Nathalie Andreani, ex-candidate de Secret Story devenue star du X, a récemment attiré l’attention en prenant la défense d’Emmanuel et Brigitte Macron.
Entre un scandale retentissant impliquant la princesse Charlène, accusée dans une affaire de pédocriminalité, et un classement sur les listes noires européennes et mondiales pour blanchiment d’argent après la visite d’Emmanuel et Brigitte Macron en juin 2025, la principauté est sous pression.
Dans ce contexte explosif, l’Élysée a bloqué la nomination de Philippe Mettoux comme ministre d’État, révélant les tensions entre la France et Monaco, où la souveraineté princière est mise à rude épreuve.
Un veto français au cœur de la gouvernance monégasque
Le prince Albert II avait choisi Philippe Mettoux, conseiller d’État français, pour succéder à Didier Guillaume, décédé, au poste de ministre d’État, équivalent du chef du gouvernement monégasque. Mais ce projet a été stoppé net par l’Élysée.
Selon des informations exclusives, Paris, après un examen minutieux du dossier fiscal de Mettoux, a opposé un veto, invoquant des préoccupations liées à d’éventuels conflits d’intérêts.
Officiellement, Mettoux aurait « renoncé » au poste, mais ce retrait masque une intervention française visant à imposer un autre candidat : Christophe Mirmand, un préfet au profil irréprochable, sans liens avec le secteur privé.
Ce blocage s’inscrit dans une relation historique où la France, en vertu de traités bilatéraux, exerce un droit de regard sur la nomination du ministre d’État, traditionnellement un haut fonctionnaire français.
Mais l’ampleur de cette ingérence, en pleine crise pour Monaco, souligne la dépendance de la principauté vis-à-vis de son voisin et la volonté de Paris d’installer une gouvernance alignée sur les exigences internationales.
Un scandale qui ébranle le palais princier
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