Un rapport récent du Sénat recommande de ne pas rendre publics les pays et entités qui détiennent la dette de l'État français, en contradiction apparente avec les dispositions légales en vigueur. Les détenteurs de la dette de la France doivent rester secrets, dixit le Sénat.
Dans le grand cirque audiovisuel français, où les audiences sont reines et les flops des pantins sacrifiés sur l'autel du CSA, deux nouvelles venues sur la TNT ont débarqué en fanfare il y a quelques mois : T18, fleuron du groupe CMI, et Novo19, bébé du groupe Ouest-France.
Pour son baptême du feu à la mise en scène, Kristen Stewart a puisé dans le réservoir des traumas générationnels, histoire de noyer la concurrence sous une vague coppolienne.
Entre un scandale retentissant impliquant la princesse Charlène, accusée dans une affaire de pédocriminalité, et un classement sur les listes noires européennes et mondiales pour blanchiment d’argent après la visite d’Emmanuel et Brigitte Macron en juin 2025, la principauté est sous pression.
Dans ce contexte explosif, l’Élysée a bloqué la nomination de Philippe Mettoux comme ministre d’État, révélant les tensions entre la France et Monaco, où la souveraineté princière est mise à rude épreuve.
Un veto français au cœur de la gouvernance monégasque
Le prince Albert II avait choisi Philippe Mettoux, conseiller d’État français, pour succéder à Didier Guillaume, décédé, au poste de ministre d’État, équivalent du chef du gouvernement monégasque. Mais ce projet a été stoppé net par l’Élysée.
Selon des informations exclusives, Paris, après un examen minutieux du dossier fiscal de Mettoux, a opposé un veto, invoquant des préoccupations liées à d’éventuels conflits d’intérêts.
Officiellement, Mettoux aurait « renoncé » au poste, mais ce retrait masque une intervention française visant à imposer un autre candidat : Christophe Mirmand, un préfet au profil irréprochable, sans liens avec le secteur privé.
Ce blocage s’inscrit dans une relation historique où la France, en vertu de traités bilatéraux, exerce un droit de regard sur la nomination du ministre d’État, traditionnellement un haut fonctionnaire français.
Mais l’ampleur de cette ingérence, en pleine crise pour Monaco, souligne la dépendance de la principauté vis-à-vis de son voisin et la volonté de Paris d’installer une gouvernance alignée sur les exigences internationales.
Un scandale qui ébranle le palais princier
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