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L'effondrement économique français : 2025, année zéro de la déchéance

Lorsque nous prédisions, il y a un an, l'inéluctable naufrage de l'économie française sous le joug d'une politique macronienne myope et prédatrice, beaucoup haussaient les épaules. "C'est de la panique inutile", disaient les optimistes, bercés par les mirages du CAC 40 et les promesses de relance.

L'effondrement économique français : 2025, année zéro de la déchéance

Aujourd'hui, le 13 novembre 2025, la réalité nous rattrape comme un raz-de-marée : l'effondrement n'est plus une hypothèse, c'est un bilan accablant.

Les faillites pullulent, les emplois s'évaporent par dizaines de milliers, et les familles françaises, autrefois fières de leur modèle social, se retrouvent à compter les fins de mois sur le fil du rasoir.

Ce n'est pas une crise ; c'est une démolition programmée, orchestrée par des élites déconnectées qui préfèrent engraisser les actionnaires étrangers au détriment de notre souveraineté.

Prédictif ? Oui, car ce que nous voyons n'est que le prélude. Si rien n'est fait – et rien ne l'est, hélas –, 2025 s'achèvera sur un record historique de destructions : plus de 70 000 entreprises en faillite, et au moins 250 000 emplois rayés de la carte.

Mais commençons par le bilan froid des chiffres, avant de plonger dans le cauchemar de novembre, ce mois funeste qui scelle le sort de milliers de nos concitoyens.

Le bilan catastrophique de 2025 : faillites et emplois, un tsunami incontrôlé

Depuis janvier, la France accumule les défaillances comme un malade terminal ses métastases. À fin septembre 2025, le nombre de faillites sur douze mois glissants atteint 68 227, un pic jamais vu depuis la Grande Dépression, selon la Banque de France.

Sur le troisième trimestre seul, Altares recense 14 371 entreprises mises en terre, soit une hausse de 5,2 % par rapport à 2024, menaçant 52 000 emplois directs. L'été 2025 a été particulièrement sanglant : 14 371 sociétés ont sombré, un record absolu, alourdissant le semestre de 32 000 difficultés financières, avec 54 147 postes en péril au deuxième trimestre, dont 21 498 déjà perdus dans des liquidations pures et simples.

Côté emplois, le verdict est encore plus impitoyable. Environ 250 plans de licenciement sont en cours ou annoncés, menaçant entre 170 000 et 200 000 salariés, d'après les estimations des syndicats et observateurs économiques. Le chômage grimpe à 7,4 % au premier trimestre, avec une accélération prévue dans l'industrie et la construction, où l'Insee anticipe des destructions massives dès début 2025.

La CGT, qui suit ces hécatombes au jour le jour, parle déjà de 300 000 postes supprimés ou en sursis dans l'industrie seule, un chiffre qui masque les drames humains : familles ruinées, suicides en hausse, territoires vidés de leur substance. Et ce n'est pas un accident : la hausse de 10,6 % des défaillances sur un an (avril 2024-avril 2025) est le fruit direct des hausses d'énergie, des normes ubuesques et d'une fiscalité vorace qui asphyxie nos PME.

Ces chiffres ne sont pas abstraits. Ils se traduisent par des usines fermées, des commerces barricadés, des ingénieurs reconvertis en livreurs. Prédiction pour la fin d'année : avec la morosité persistante, nous dépasserons les 70 000 faillites annuelles, et les pertes d'emplois flirteront avec les 300 000. L'Europe nous regarde s'effondrer, pendant que l'Allemagne et les Pays-Bas s'en sortent mieux grâce à une énergie bon marché et une industrie protégée. Notre "modèle" ? Une farce.

Novembre 2025 : la liste noire des sacrifices humains

Novembre, ce mois des morts, s'avère être le bourreau en chef. Du 10 au 14 novembre seul, Pierre Jovanovic, notre vigie économique impitoyable, dresse une liste effroyable qui humilie la France entière : des milliers de salariés jetés à la rue, des entreprises centenaires rayées d'un trait de plume, le tout saupoudré de la hausse suicidaire du prix de l'électricité – cadeau empoisonné de la privatisation macronienne.

Voici, exhaustive et glaçante, la litanie des pertes pour ce mois funeste, tirée des annonces officielles et des tribunaux de commerce. Partagez-la, car elle est le miroir de notre déroute.

  • Pechdo France (tannerie à Millau) : Liquidation judiciaire, 33 salariés licenciés. Dernière tannerie de la ville, 125 ans d'histoire balayés.
  • Stade Malherbe Caen : Plan social post-relégation, 16 emplois supprimés.
  • CNAM Pays de la Loire : 53 salariés (dont 36 à Nantes) sur 211, au chômage.
  • Showroomprivé : 121 postes rayés (80 à La Plaine Saint-Denis, 23 à Roubaix, 18 aux Sables-d'Olonne), victimes de la concurrence et de la seconde main.
  • Huawei France : Usine de Brumath fermée pour hostilité politique, 300 emplois perdus.
  • Apprentis en France : Plus de 60 000 emplois détruits au troisième trimestre, deux tiers dus aux coupes budgétaires sur les aides.
  • Renault (usine de Sandouville) : 300 intérimaires remerciés.
  • Boehringer Ingelheim (Lyon) : 146 salariés du laboratoire pharmaceutique licenciés.
  • WizPaper (Wizernes) : Liquidation de la papeterie, 149 emplois envolés.
  • Erasteel : 193 des 240 salariés de l'acier au chômage.
  • Blédina - Danone (Villefranche) : Usine bicentenaire prépare un grand licenciement collectif.
  • SeLoger - MeilleursAgents : 90 salariés virés, faute de boom immobilier.
  • Monogram : Faillite du revendeur de luxe d'occasion, scandale dans le "pre-owned".
  • Transports Delavenne (Amiens) : 27 ans d'activité liquidés.
  • Scieries françaises : 40 à 80 fermetures annuelles, étouffées par la concurrence chinoise et nos normes folles.
  • Vissal Manufacturing (Doubs) : 11 salariés perdus par ricochet d'ACI Industries.
  • Cafés et restaurants : 1 338 faillites au T1, 2 182 au T2, 1 852 estimées au T3 – soit 15-16 par jour depuis janvier.
  • Ademeure : Maisons modulaires en ossature bois en redressement judiciaire.
  • EGI Klubb Group (Ardennes) : Faillite des nacelles élévatrices, 57 emplois.
  • NovAsco (Hagondange) : 450 emplois risquent la liquidation.
  • Ariane (Vernon) : Transfert en Allemagne des assemblages de moteurs, haute trahison industrielle.
  • Criteo : Délocalisation au Luxembourg et New York, au moins 1 000 emplois français effacés.
  • Industries générales : 82 usines fermées sur les six premiers mois, contre 44 ouvertes.
  • Cenpa (Schweighouse-sur-Moder) : Papetier en redressement jusqu'en février 2026.
  • Boulangeries Paul : 10 boutiques fermées, grève en cours, 200 emplois menacés par la désertion des centres commerciaux.
  • Mahle (Hambach, Moselle) : 190 salariés sur la sellette.
  • Editions Crépin-Leblond : Groupe de presse liquidé, tous titres au fond.
  • Royer (marques Dim, Kickers, etc.) : Redressement judiciaire.
  • Restauration en Gironde : 40 % des patrons hôteliers-restaurateurs doutent de leur survie.
  • Stellantis (Poissy) : Fermeture d'ici 2028, 2 000 emplois.
  • LDR Médical (près de Troyes) : 96 spécialistes licenciés, site fermé.
  • Florentaise (Loire-Atlantique) : 86 salariés des terreaux écologiques au chômage.

Et ce n'est que la partie visible de l'iceberg français. À l'international, l'hémorragie est mondiale : Amazon (30 000 licenciés), UPS (48 000), GM (1 700 de plus), pour un total US de 170 000 suppressions en 30 jours. Mais c'est chez nous que ça saigne le plus, car c'est chez nous que la trahison est la plus crue.

Vers l'abîme : ce qui nous attend si nous ne réagissons pas

Prédiction finale : décembre refermera 2025 sur une note apocalyptique, avec une accélération des plans sociaux dans l'automobile et le retail. Le chômage à 8 % d'ici fin d'année, des territoires ruraux en friche, une explosion des saisies immobilières.

Mais l'effondrement n'est pas fatalité : il appelle une révolte. Nationalisons l'énergie, protégez nos industries, taxez les délocalisateurs. Français, levez-vous ! Apar.tv sera là pour documenter la suite – et espérer un sursaut.


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