Une révélation choc secoue la sphère médiatique française : le milliardaire Pierre-Édouard Stérin, connu pour ses vues conservatrices, aurait acquis le média Cerfia, y compris son compte X influent comptant 1,27 million d’abonnés, via son fonds d’investissement Otium Capital.
Pendant treize ans, Christian Clavier, incarnation du "bon père de famille" à l’écran, a échappé à l’impôt en s’expatriant à Londres. Rattrapé par le fisc, il doit faire face à la réalité : derrière le masque se cache un homme qui a cherché à ne rien donner à la société qui l’a fait roi.
Le château de Miraval, niché dans le Var, incarne le rêve provençal : une bâtisse du XVIIe siècle, des vignes à perte de vue, une oliveraie, un lac, et un studio d’enregistrement ayant accueilli des stars comme Pink Floyd, Travis Scott ou Christine and the Queens.
Alors que j’écris ces lignes, une image déchirante tirée d’un fil sur X hante mes pensées : une rue délabrée d’Erie, en Pennsylvanie, où une chaise solitaire veille sur un matelas en ruines, encadrée par une clôture rouillée et un panneau vantant une lutte contre les injustices – un symbole ironique d’un espoir perdu.
À côté, la photo d’une chambre de motel miteuse, avec son lit défait et son téléviseur éteint, capture l’âme brisée de @shagbark_hick, qui confie depuis ce lieu sinistre : « J’ai perdu la bataille contre le chagrin pour ce pays. » Ces images ne sont pas de simples instantanés ; elles sont le cri d’agonie d’une Amérique en pleine décomposition, un effondrement économique et social qui, à partir de la Pennsylvanie, menace de s’étendre comme une gangrène d’ici 2035.
I swear that I am trying as hard as I can to stay optimistic about this country. I really am.
After so many miles, I've realized that one needs to wear blinders to keep anything like optimism up. One needs to travel in a private car with a large sum of money, taking pains to… pic.twitter.com/Z18u72fA3P
La Pennsylvanie, jadis fière de son industrie lourde et de ses villes prospères, est aujourd’hui le théâtre d’une dérive économique alarmante. Les données du Bureau du recensement des États-Unis révèlent un déclin annuel de 0,5 % de la population dans les zones rurales depuis 2020, un chiffre qui pourrait doubler d’ici 2030 dans des comtés comme celui d’Erie, où l’industrie s’effrite.
L’économie locale, autrefois soutenue par des géants comme Lord Corporation, vacille face à la désindustrialisation, tandis que des programmes comme le LERTA, expiré depuis 2007 sans renouveau, n’ont pas su enrayer la spirale.
Voyager en dehors des « nœuds » touristiques et des zones à fort crédit nécessite des « œillères » – un aveu que la majorité des rues, hôtels et restaurants d’Erie sont devenus des vestiges d’un passé glorieux.
Cet effondrement est amplifié par les tensions culturelles héritées de l’Acte Hart-Celler de 1965. Selon un article de Dissent Magazine de 2021, cette réforme a redessiné la démographie américaine, mais en Pennsylvanie, elle a aussi creusé les inégalités, laissant des villes comme Erie aux prises avec des poches de pauvreté et de désespoir.
Ajoutez à cela les prédictions de la NOAA, qui annoncent une hausse de 15 % des événements météorologiques extrêmes d’ici 2035 – des inondations qui pourraient engloutir les infrastructures déjà moribondes d’Erie.
La chambre de motel, avec ses rideaux fanés, devient le miroir d’une région où l’espoir s’éteint sous les assauts de la nature et de l’économie.
Une fuite sans retour
Face à ce naufrage, certains, comme la famille de slowverlanders, choisissent l’exil. Parti d’une Californie ravagée par la violence et la drogue, ce foyer a trouvé refuge en Amérique latine, puis en Espagne, où des rues propres et une communauté soudée offrent un contraste cruel avec l’Amérique d’aujourd’hui.
D’ici 2028, une hausse de 20 % des expatriés américains pourrait vider davantage la Pennsylvanie de ses talents, laissant derrière elle des villes fantômes. Mais même cet exil est menacé : en Espagne, le surtourisme pourrait doubler les prix des hôtels d’ici 2027, rendant cet havre inaccessible.
Pour shagbark_hick, père de famille, la tentation de partir grandit, mais il sait que ses lecteurs, ancrés dans un patriotisme blessé, rejettent cette idée – un dilemme qui scelle son impuissance.
Un effondrement économique irréversible
L’économie américaine, et particulièrement celle de la Pennsylvanie, est en chute libre. Les comtés ruraux, où la population a chuté de 52 % depuis 2000 selon le Pew Research Center, ne se relèveront pas.
À Erie, les emplois industriels ont cédé la place à une précarité croissante, et les tentatives de revitalisation via des technologies comme l’urbanisme par IA d’ici 2032 resteront lettre morte sans fonds – un luxe que Washington, englué dans des dettes abyssales, ne pourra offrir.
Le « malaise » des années 1970, évoqué par @sull1vannolan, reviendra en force lors des élections de 2026, mais les candidats, divisés entre déni et promesses creuses, ne proposeront rien face à un système économique en implosion.
Il n’y a pas de « solution miracle » – pas d’annulation de l’Acte Hart-Celler, pas de retour en arrière possible.
Un avenir de ruines
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