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Le vernis craque – Julie Gayet, François Hollande et le scandale Rafale qui sent la poudre

Il y a des affaires qui, comme une vieille tache sur un tapis d’apparat, refusent de s’effacer.

Le vernis craque – Julie Gayet, François Hollande et le scandale Rafale qui sent la poudre

L’embarrassante histoire du contrat Rafale avec l’Inde, révélée par Libération le 27 mai 2025, est de celles-là : un nœud gordien où se mêlent un dîner à l’Élysée, un film financé par des millions indiens, et un couple – Julie Gayet et François Hollande – dont le vernis d’élégance et de progressisme commence à se fissurer sous le poids des soupçons.

Ce n’est pas seulement une affaire de gros sous ou de géopolitique ; c’est une plongée dans l’hypocrisie d’une élite qui méprise en silence ceux qu’elle appelle, dans l’intimité, les “sans-dents”.

Reprenons. En 2016, la France vend 36 avions Rafale à l’Inde pour 8 milliards d’euros, un contrat pharaonique négocié sous la présidence de François Hollande. À l’époque, le choix du partenaire indien, Reliance Group, proche du Premier ministre Narendra Modi, fait déjà grincer des dents.

L’opposition indienne crie au favoritisme, pointant du doigt l’éviction d’une entreprise publique au profit du conglomérat d’Anil Ambani. Mais ce n’est pas tout. En parallèle, Reliance injecte 1,6 million d’euros dans Tout là-haut, un film coproduit par Julie Gayet, compagne de l’ex-président.

Coïncidence ? À peine deux jours avant la signature d’un protocole d’accord pour les Rafale, un partenariat est scellé entre Reliance et la société de production de Gayet. Le timing est si parfait qu’il en devient grotesque.Julie Gayet, l’actrice-productrice au sourire discret, se présente comme une figure de l’ombre, une artiste indépendante loin des jeux de pouvoir.

Mais le masque glisse. Qui croit encore à cette fable d’une femme détachée des intrigues de l’Élysée ? Elle n’est pas la simple compagne d’un président, ni une productrice opportuniste tombant par hasard sur un mécène indien. Elle est un rouage dans une mécanique bien huilée, où les dîners d’État et les contrats d’armement se croisent avec une précision d’horloger.

François Hollande, lui, joue les ingénus : “Je ne pouvais même pas imaginer qu’il y avait un lien avec un film de Julie Gayet,” clame-t-il en 2018. Vraiment ? L’homme qui a dirigé la France pendant cinq ans serait-il si naïf ?

Ou prend-il les Français pour des idiots, ces mêmes “sans-dents” qu’il moquait dans ses confidences à des journalistes ?

Car c’est là que le scandale prend une teinte plus sombre. Ce couple, qui se drapait dans une aura de simplicité et d’humanisme, révèle un mépris aristocratique pour le peuple qu’il prétendait servir. Les “sans-dents”, cette expression cruelle prêtée à Hollande, n’est pas qu’une maladresse.

Elle est le symptôme d’une élite déconnectée, prête à jongler avec des milliards et des influences pendant que le commun des mortels est prié de se contenter des miettes. L’affaire Rafale n’est pas seulement une question de corruption potentielle – une enquête judiciaire est ouverte depuis 2021 pour “corruption” et “trafic d’influence” – mais un miroir tendu à une France qui découvre, ébahie, les dessous d’un pouvoir cynique.

Et que dire de ce dîner à l’Élysée, ce moment où les élites françaises et indiennes trinquent pendant que les contrats se nouent dans l’ombre ? C’est une scène digne d’une satire de Molière : des sourires polis, des coupes de champagne, et des millions qui changent de main sous la table.

Pendant ce temps, la France, celle des “sans-dents”, assiste à la lente érosion de sa souveraineté industrielle, tandis que Dassault et Reliance se partagent le gâteau. L’opposition indienne, elle, ne s’y trompe pas : elle accuse Modi d’avoir orchestré un favoritisme éhonté, et les propos de Hollande, qui suggèrent que le gouvernement indien a imposé Reliance, jettent de l’huile sur le feu.

Mais revenons à Julie Gayet. Si elle n’est pas ce qu’elle prétend – une artiste au-dessus de la mêlée –, qui est-elle vraiment ?

Une opportuniste habile, surfant sur les réseaux de pouvoir de son compagnon ?

Une complice silencieuse dans un jeu où l’art sert de paravent à des tractations douteuses ?

Les Français méritent des réponses. Ils vont bientôt découvrir, à mesure que l’enquête avance, que ce couple n’est pas seulement celui d’un président maladroit et d’une actrice discrète.

C’est un symbole d’une élite qui méprise, manipule et prospère sur le dos d’une nation qu’elle prétend représenter.

APAR.TV doit hurler cette vérité. Ce scandale n’est pas qu’une affaire de gros contrats et de petits arrangements.

C’est une brèche dans la façade d’un système qui se croit intouchable.

Les “sans-dents” ne sont pas dupes. Ils attendent, dans l’ombre, que la lumière crue des révélations fasse tomber les masques.

Et quand ils tomberont, Julie Gayet et François Hollande ne pourront plus se cacher derrière des déclarations d’innocence ou des sourires de façade.

La France, elle, aura un choix : fermer les yeux ou exiger des comptes.


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