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Le secret qui vaut une balle : pourquoi Candace Owens dit que la France veut la faire taire

De l’assassinat de Charlie Kirk aux couloirs de l’Élysée, Candace Owens affirme détenir la preuve qu’un contrat a été mis sur sa tête. Unités d’élite, Club des Cent, financements occultes : plongée dans un thriller qui mêle complot d’État et guerre froide numérique. Et si, elle disait vrai ?

Le secret qui vaut une balle : pourquoi Candace Owens dit que la France veut la faire taire

Dans un monde où la frontière entre satire politique, théories du complot et menaces réelles s’efface à grande vitesse, l’affaire Candace Owens explose de nouveau. La commentatrice conservatrice américaine, connue pour ses positions tranchées et ses provocations tous azimuts, affirme être la cible d’une tentative d’assassinat orchestrée depuis l’Élysée.

Accusations gravissimes, lien direct avec l’assassinat de Charlie Kirk, photo emblématique de Donald Trump et Charlie Kirk pouce levé : Apar.tv décrypte cette séquence explosive, sourcée et recoupée, sans céder ni à l’hystérie ni au déni.

Une voix dissidente dans l’œil du cyclone

À 36 ans, Candace Owens n’est plus une simple polémiste : elle est devenue, avec son podcast Candace, l’émission la plus écoutée sur Spotify, dépassant même Joe Rogan.

Ancienne collaboratrice de Turning Point USA, l’organisation fondée par Charlie Kirk, elle en a été écartée en 2024 après des propos jugés antisémites sur Hitler. Depuis, elle navigue en solo et multiplie les attaques contre le « deep state », Israël et, plus récemment, Brigitte Macron.

C’est cette dernière cible qui a tout déclenché. Depuis 2021, Owens relaie la rumeur selon laquelle la Première dame de France serait née homme sous l’identité de Jean-Michel Trogneux, son propre frère. Cette thèse, initialement portée en France par la voyante Amandine Roy et la journaliste Natacha Rey, a été condamnée pour diffamation en première instance, avant que la cour d’appel de Paris ne casse ce jugement en juillet 2025. Fin octobre 2025, le couple Macron porte plainte contre Candace Owens pour propagation de fausses informations et harcèlement. Elle refuse de retirer ses déclarations.

Pour Owens, cette plainte n’est pas une simple procédure civile : c’est le signe d’une vendetta d’État.

Les révélations du 22 novembre : un complot d’État français

Le 22 novembre 2025, Candace Owens publie une série de messages alarmants. Elle affirme avoir été contactée par un haut fonctionnaire français, dont elle a vérifié la position et la proximité avec le couple présidentiel. Selon cette source anonyme, Emmanuel Macron aurait autorisé et financé un projet d’assassinat la visant, elle et le journaliste français Xavier Poussard, qui enquête sur le même sujet. L’opération impliquerait une unité d’élite de la Gendarmerie nationale et serait financée via le très discret Club des Cent, un cercle d’influence proche du pouvoir.

Elle établit immédiatement un lien avec l’assassinat de Charlie Kirk, tué le 15 septembre 2025 à l’université de la Vallée de l’Utah. Selon elle, l’auteur des faits, Tyler Robinson, aurait été formé par la 13e Demi-Brigade de Légion étrangère et l’opération aurait bénéficié de complicités internes à Turning Point USA.

L’assassinat de Charlie Kirk : la pièce manquante ?

Charlie Kirk, cofondateur de Turning Point USA et proche de Donald Trump, a été abattu d’une balle dans la tête en plein événement public. L’enquête officielle conclut à l’acte isolé d’un jeune homme déséquilibré. Candace Owens conteste cette version depuis le premier jour : tunnels sous la scène, téléphone disparu, formation militaire française du tireur… Elle va plus loin en affirmant que Kirk lui-même, ainsi que Sergio Gor et Donald Trump, l’auraient appelée pour lui demander d’arrêter son enquête sur Brigitte Macron. « Quel secret protégeaient-ils tous ? », lance-t-elle.

Candace Owens : « Les Macron ont commandité mon assassinat et celui de Xavier Poussard »
Elle avait promis de tout révéler sur Brigitte Macron. Aujourd’hui, Candace Owens jure qu’Emmanuel Macron a donné l’ordre de l’éliminer, elle et le journaliste français Xavier Poussard. L’accusation est si énorme qu’elle en devient fascinante. Vrai coup d’État secret ou coup de théâtre judiciaire ?

Une escalade inédite

Le 23 novembre, elle affirme avoir transmis au gouvernement américain et à la Maison Blanche les noms des membres de l’équipe censée l’éliminer : une tireuse d’élite française et un homme israélien, financés via des comptes au Canada et en France. Ses publications cumulées dépassent les 26 millions de vues.

La presse internationale s’emballe : le Daily Mail parle de « revendication sauvage », l’International Business Times évoque un incident diplomatique majeur, le Jerusalem Post s’alarme de la résurgence d’un antisémitisme conspirationniste. En France, le silence officiel est total.

Entre vérité et mise en scène

Aucune preuve tangible n’accompagne pour l’instant ces accusations : pas de document, pas de nom public de la source, pas d’enregistrement. Des observateurs soulignent que Candace Owens a déjà lancé des alertes similaires par le passé – menaces d’influenceurs payés, appels mystérieux – sans suite concrète. D’autres, au contraire, estiment que l’absence de démenti rapide des autorités françaises alimente le doute.

Conséquences géopolitiques et fractures internes

Cette affaire révèle surtout les lignes de faille de la droite américaine : d’un côté les pro-Israël traditionnels (Shapiro, TPUSA), de l’autre une frange de plus en plus isolationniste et antisystème incarnée par Owens. Elle ravive aussi, outre-Atlantique, les tensions franco-américaines et les vieux démons complotistes mêlant Mossad, DGSE et CIA.

Vraie menace ou opération de communication magistrale ? L’histoire nous le dira. Ce qui est certain, c’est que Candace Owens a réussi, une fois de plus, à placer son récit au centre du débat mondial. La photo de Charlie Kirk et Donald Trump, pouce levé, reste figée dans le temps. Elle symbolise une époque où la politique se joue autant dans les studios de podcast que dans les couloirs du pouvoir – et où la frontière entre parole et violence n’a jamais été aussi poreuse.

Sources : déclarations publiques de Candace Owens (22-23 novembre 2025), articles du Daily Mail, International Business Times UK, Jerusalem Post, Pravda France, Gateway Pundit, et suivi en temps réel des échanges sur X.


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