Depuis l’élection de Macron, une vague de critiques s’est élevée contre lui, portée par des intellectuels, activistes, journalistes et humoristes. Découvrez cette liste de personnalités en hommage au mouvement #JeNeSuisPasSuicidaire, qui ont osé défier le pouvoir en place.
Depuis le début de l’année 2025, une série de drames a bouleversé la France, touchant à la fois les fonctionnaires de la Direction générale des finances publiques (DGFiP) et des figures politiques de premier plan.
Ces dernières années, un phénomène préoccupant a émergé dans le paysage politique français : de plus en plus de politiciens bloquent les commentaires sur leurs publications et déclarations publiques, empêchant ainsi les citoyens de s’exprimer.
Les followers seront-ils de bons spectateurs ? C’est la question qu’on peut se poser en découvrant « SickHouse » le premier film filmé sur Snapchat qui est proposé en version intégrale sur Vimeo. Cette nouvelle approche du cinéma sur les réseaux sociaux va bouleverser la production audiovisuelle. Pour l’instant, ce qu’on voit n’a aucun intérêt narratif mais cela laisse présager malgré tout de nouvelles formes d’expérimentations pour les auteurs et les réalisateurs. Dans le cas qui nous intéresse ici, c’est la Youtubeuse américaine Andrea Russett qui a réalisé ce premier film d’horreur diffusé sur le réseau social. 68 minutes d’horreur qui ont attirées deux millions et demi d’abonnés. Alors que le tournage s’est joué en seulement cinq jours avec un simple iPhone. C’est l’avenir sans doute dans le numérique et pourtant on ne peut s’empêcher de penser aux mots du philosophe qu’on aime tant Bernard Stiegler : « Nous sommes dans une transformation systémique. La société industrielle ne va pas bien, mais le numérique puissance destructrice qui devait soigner le malade est en train d’aggraver la maladie. Le numérique provoque le contraire de ce que nous souhaitions : il accentue l’entropie. Notamment par la fin de la redistribution par l’emploi. Or nous risquons de faire face à la disparition de 50% des emplois. Aujourd’hui nous n’avons pas de régime de vérité du numérique, car ça suppose un état de droit. La disruption, c’est le Far West ! C’est l’exploitation des vides juridiques. Ça ne peut pas durer. Car cela risque de se terminer dans des règlements de comptes à grande échelle. Aujourd’hui, nous avons une massification de comportements mimétiques pilotés par des puissances exclusivement privées et par le marché. C’est catastrophique. Le marché abandonné à lui-même devient fou. Le smart power a été concédé aux états-Unis par défaut d’une politique européenne, alors que le web avait été inventé en Europe. Il faut réinventer le web. C’est un enjeu planétaire. Ça passe par une nouvelle politique de recherche. Car dans le smart power, le savoir est fondamental. Mais l’action politique arrive toujours trop tard. L’Europe a une responsabilité fondamentale et les moyens de déplacer la donne pour renforcer les potentialités de justice. Certes, l’immense marché ne va pas se désinstaller : mais comment y faire croître des alternatives ? C’est impossible sans la puissance publique. Créer de nouvelles possibilités macro-économiques et ne plus être sous la domination de la micro-économie. Les modèles du web sont extrêmement entropiques. L’économie contributive à la Google repose sur le travail gratuit, qui crée de l’insolvabilité dans le système. Il faut une économie de contribution qui soit solvable. Nous sommes devenus des fourmis numériques. Nous sommes tous calculés. Ne nous laissons pas leurrer par le storytelling libertarien. »
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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