Dans une enquête choc qui ébranle les fondations d'Israël, le Shin Bet accuse Benjamin Netanyahu d'avoir financé et renforcé le Hamas, potentiellement autorisant l'attaque du 7 octobre 2023 comme un "false flag" pour consolider son pouvoir.
En ce début d’automne 2025, alors que les feuilles commencent à jaunir en Occident, un vent de changement souffle avec force depuis l’Orient. Je suis Mary Josephson, et depuis des années, j’observe les plaques tectoniques de la géopolitique mondiale se déplacer sous nos pieds.
Imaginez : 511 milliards de barils de pétrole, un océan noir sous la blancheur immaculée, équivalent à dix fois la production totale de la mer du Nord sur un demi-siècle.
« Je suis l’Homme dans la boîte parce que, pour moi, le monde est une boîte, ou plutôt ma propre boîte y est emboîtée de telle façon que je puisse y survivre, par une pure et complète discontinuité, c’est dire à quel point ma boîte revêt une fonction primordiale : elle me permet de vivre dans le monde sans y vivre, elle me permet d’être dans le monde sans y être, ainsi, chaque partie du monde, chaque monde est une boîte emboîtée avec les autres, sauf avec la mienne. Car la boîte dans laquelle je vis est aussi celle que je dois faire vivre en moi, sous peine d’en mourir. Cette boîte dans laquelle j’habite est donc la Boîte qui contient toutes les autres boîtes de mon esprit, et c’est la raison pour laquelle elle vit aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de moi ».
Maurice G. Dantec, dans son roman SF Cosmos Incorporated fait parler un personnage, entre l’homme et la machine qui vit selon des principes techniques et se dénomme « L’Homme dans la boite ». Autrement dit l’homme réduit à une fonction, qui utilise le monde comme un outil, une simple autre boite qu’il utilise comme une relation technicisée en créant une multitude d’autres boites pour hiérarchiser ses relations et se protéger de relations non-maitrisées. Garder le contrôle en vivant dans un monde fermé.
C’est de la science-fiction. Un sujet auquel nombre de penseurs, artistes, réalisateurs se sont essayés, approcher la question du contrôle, de soi, des autres, de la notion du domaine du privé, du « Un » dans une multiplicité de possibilités. La question de l’existence de l’Homme moderne et de sa possibilité de vivre en accord avec les autres en préservant sa spécificité, son caractère d’Homme à l’ère des machines.
Imaginez le film d’Alfred Hitchcock, « Fenêtre sur cour » réalisé à l’ère du digital. Imaginez un monde où les voyeurs ne sont plus les seuls êtres à regarder. Un monde où la moindre action digitale insignifiante pourrait devenir un acte répressible dans un futur proche. Un monde ou le public et le privé se côtoient sans jamais se croiser, un mode où vous n’êtes plus seuls. Jamais. Un monde sans solitude. Un monde où les algorithmes pénètrent vos appartements aussi bien que votre cerveau.
C’est ce que cherche a représenter ce film simple réalisé par Jason Allen Lee, en s’inspirant métaphoriquement de l’acte de surveillance. Ce que nous sommes en privé est désormais la même chose que ce que nous sommes en publi à partir du moment ou nous interagissons avec la technologie moderne, les réseaux sociaux, les jeux vidéos, les systèmes de messageries, ce que nous regardons sur nos ordinateurs, sur quels liens nous cliquons. Bref tout ce que nous découvrons en nous mettant à découvert, digitalement parlant. Par un acte totalement voyeur et illégal, le réalisateur a filmé en cachette des personnes dans leur environnement direct (leur appartement) et indirect (leurs activités digitales). Sans se faire voir il a pénétré passivement leur intimité tandis que les acteurs involontaires du film dévoilaient la leur de manière active sur leurs écrans.
En posant la simple question « qui regarde? » il a créé une œuvre digitale essentielle. A regarder…
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
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En mai 2025, le Festival de Cannes a dévoilé The Phoenician Scheme, le dernier opus de Wes Anderson, un cinéaste dont le style visuel inimitable et les récits excentriques ont redéfini le cinéma d’auteur contemporain.
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