La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Cet été, les écrans de ciné vont voir débarquer I’m still here – The lost year of Joaquin Phoenix. Un pied-de-nez qui fera passer la guerre des mondes d’Orson Welles sur CBS en 1938 pour une simple blague de fin de soirée open bar.
Petit flashback. En 2008, Joaquin Phoenix annonce qu’il quitte le cinéma pour se consacrer à la musique. S’en suivent plusieurs années de déchéance marquées par une barbe hirsute, un bel embonpoint et quelques couvertures de presse à scandale. Et voilà que nous apprenons qu’il s’agissait d’un canular pour tourner un vrai-faux documentaire. L’histoire d’un destin qui bascule filmé par le beau-frère de l’acteur, Casey Affleck (acteur et réalisateur, frère de Ben Affleck et époux de Summer Phoenix, sœur de Joaquin et River Phoenix. Quand on vous dit que le cinéma est une grande famille…).
Avant de pouvoir porter son message et son questionnement sur un monde où la starification est devenue un exercice de la manufacture des médias. Où la célébrité est créée et détruite de toute pièce par une élite aussi légitime pour parler de talent que Paris Hilton pour parler de maçonnerie. Avant tout cela donc, il faudra passer outre le scandale de tous ces grands noms (Jack Nicholson, Bruce Willis, Danny Glover, Billy Cristal, Robin Wright Penn, Danny de Vito…) qui ont participé involontairement au vrai faux docu fiction réel. Malheureusement, Hollywood n’aime pas être roulé dans la farine. Dommage. Nous, on applaudit.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.