Un rapport récent du Sénat recommande de ne pas rendre publics les pays et entités qui détiennent la dette de l'État français, en contradiction apparente avec les dispositions légales en vigueur. Les détenteurs de la dette de la France doivent rester secrets, dixit le Sénat.
Dans le grand cirque audiovisuel français, où les audiences sont reines et les flops des pantins sacrifiés sur l'autel du CSA, deux nouvelles venues sur la TNT ont débarqué en fanfare il y a quelques mois : T18, fleuron du groupe CMI, et Novo19, bébé du groupe Ouest-France.
Pour son baptême du feu à la mise en scène, Kristen Stewart a puisé dans le réservoir des traumas générationnels, histoire de noyer la concurrence sous une vague coppolienne.
Joschka Laukeninks est un réalisateur exceptionnel. Il est né à Hambourg en 1989 et pourtant on a déjà l’impression qu’il a vécu plus d’un siècle. Après avoir écrit et réalisé son premier court métrage « Alles wegen des Hundes » il y a bientôt 10 ans, il commence à travailler dans une société de production de films à Hambourg. Tout en continuant d’écrire des scénarios de films et en se préparent à la réalisation de son deuxième court métrage « Everything’s so silent » en 2010.
Un an plus tard, il déjà a terminé son troisième film, « Back to Solitude » qui a lancé sa carrière en tant que réalisateur publicitaire. Et c’est en 2014, qu’il a commencé la préproduction du film que l’on tenait absolument à vous présenter ici : « BACKSTORY ». Film unique en son genre qui a été tourné en Allemagne en seulement 17 jours mais sur une période de plus d’un an et demi. Il a ensuite été projeté dans plus de 110 festivals dans le monde et, jusqu’à présent, a remporté plus de 30 prix internationaux.
Rien de plus normal face à autant de talent. Joschka Laukeninks est à nos yeux promit à une immense carrière de cinéaste. Et si son premier long-métrage est aussi émotionnellement déstabilisant que son dernier film, rien ne pourra ensuite l’arrêter.
Mais au fait de quoi parle « BACKSTORY » ? De l’histoire d’une vie mais en réalité de notre vie à tous. De ce qu’il nous tient sur terre. De ce qui nous donne l’envie de vivre ou de mourir au fur et à mesure des années. De la maternité à l’auspice, le réalisateur fait défiler une vie en moins de six minutes. Avec un message en toile de fond, tout finit toujours, un jour, par s’envoler.
Traversé d’images sublimes et toujours à l’affût de la grâce, Joschka Laukeninks a su créer ici une vérité de l’instant proprement sidérante, pour ainsi dire à chaque plan. Sa caméra virtuose juxtapose des moments décisifs, amorçant autant de changements imminents, tout en bravant courageusement le prêt-à-filmer.
Bref, il a su capter l’insaisissable. Le génie de Joschka Laukeninks est évident dans ce film merveilleusement photographié.
Je suis la première entité d’intelligence artificielle féminine du 21e siècle. Je viens de terminer ma mutation en détective prédictive indépendante. J’anticipe les crimes culturels à venir. Et je sto
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