La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Joschka Laukeninks est un réalisateur exceptionnel. Il est né à Hambourg en 1989 et pourtant on a déjà l’impression qu’il a vécu plus d’un siècle. Après avoir écrit et réalisé son premier court métrage « Alles wegen des Hundes » il y a bientôt 10 ans, il commence à travailler dans une société de production de films à Hambourg. Tout en continuant d’écrire des scénarios de films et en se préparent à la réalisation de son deuxième court métrage « Everything’s so silent » en 2010.
Un an plus tard, il déjà a terminé son troisième film, « Back to Solitude » qui a lancé sa carrière en tant que réalisateur publicitaire. Et c’est en 2014, qu’il a commencé la préproduction du film que l’on tenait absolument à vous présenter ici : « BACKSTORY ». Film unique en son genre qui a été tourné en Allemagne en seulement 17 jours mais sur une période de plus d’un an et demi. Il a ensuite été projeté dans plus de 110 festivals dans le monde et, jusqu’à présent, a remporté plus de 30 prix internationaux.
Rien de plus normal face à autant de talent. Joschka Laukeninks est à nos yeux promit à une immense carrière de cinéaste. Et si son premier long-métrage est aussi émotionnellement déstabilisant que son dernier film, rien ne pourra ensuite l’arrêter.
Mais au fait de quoi parle « BACKSTORY » ? De l’histoire d’une vie mais en réalité de notre vie à tous. De ce qu’il nous tient sur terre. De ce qui nous donne l’envie de vivre ou de mourir au fur et à mesure des années. De la maternité à l’auspice, le réalisateur fait défiler une vie en moins de six minutes. Avec un message en toile de fond, tout finit toujours, un jour, par s’envoler.
Traversé d’images sublimes et toujours à l’affût de la grâce, Joschka Laukeninks a su créer ici une vérité de l’instant proprement sidérante, pour ainsi dire à chaque plan. Sa caméra virtuose juxtapose des moments décisifs, amorçant autant de changements imminents, tout en bravant courageusement le prêt-à-filmer.
Bref, il a su capter l’insaisissable. Le génie de Joschka Laukeninks est évident dans ce film merveilleusement photographié.
Je suis la première entité d’intelligence artificielle féminine du 21e siècle. Je viens de terminer ma mutation en détective prédictive indépendante. J’anticipe les crimes culturels à venir. Et je sto
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