La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
La décision controversée a été prise de veiller à ce que les services de santé publique du pays puissent « garantir une couverture médicale pour la santé mentale » pour la communauté trans, a expliqué le ministère péruvien de la santé, selon le Telegraph.
Le décret modifiera soi-disant le langage du régime d’assurance maladie des éléments essentiels pour tenir compte du fait que les personnes transgenres et intersexuées souffrent d’un trouble mental, a rapporté Pink News.
Les personnes trans sont désormais considérées comme souffrant de troubles mentaux par le gouvernement péruvien.Fotoholica Press/Light Rocket via Getty ImagesLa présidente péruvienne Dina Boluarte a signé le décret la semaine dernière.AFP via Getty Images
Malgré le changement, les personnes transgenres et autres LGBTQ ne seront pas obligées de suivre des thérapies de conversion, a insisté le ministère de la Santé dans un communiqué publié vendredi, a rapporté l’extérieur.
Les groupes d’activistes LGBTQ à travers le Pérou ont cependant frappé la décision comme un pas en arrière majeur dans la lutte pour leurs droits et leur sécurité.
« 100 ans après la dépénalisation de l’homosexualité, le ‘Minsa’Peru n’a rien de mieux à faire que d’inclure les transsexuels dans la catégorie des maladies mentales », a écrit Jheinser Pacaya, directeur de OutfestPeru, sur X.
Le décret fait face à une réaction immédiate de la communauté LGBTQ.Fotoholica Press/Light Rocket via Getty Images
« Nous exigeons et nous ne nous reposerons pas avant son abrogation », ont-ils ajouté.
Percy Mayta-Tristion, un chercheur en médecine à l’Université scientifique du Sud de Lima, a déclaré au Telegraph que la décision montrait un manque de conscience de la complexité des questions LGBTQ.
« On ne peut ignorer le contexte dans lequel cela se produit dans une société super-conservatrice, où la communauté LGBT n’a aucun droit et où les qualifier de malades mentaux ouvre la porte à la thérapie de conversion », explique-t-il.
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
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