Le monumental tour de Michael Canitrot : un scandale financier masqué sous des lumières électro ?

Michael Canitrot, ce prétendu "visionnaire" qui se pavane sur les monuments comme un paon en rut, est au centre d'un projet qui sent la magouille à plein nez. Son monumental tour, lancé en 2019-2020 et étendu à l'Europe avec un air de grandeur ridicule, prétend "valoriser le patrimoine" via de la musique électro bas de gamme et des mappings vidéo clinquants. Mais grattez ce vernis cheap, et vous découvrirez un système vicieux où l'argent des dons finit dans les poches d'un charlatan et de ses complices privés, pendant que nos monuments historiques pourrissent tranquillement. Cette enquête à charge démonte cette arnaque grotesque pièce par pièce, avec des faits qui vous feront vomir votre café du matin.

Des origines suspectes : un fils à papa dans le milieu musical

Commençons par les bases sordides : Michael Canitrot n'est pas un génie tombé du ciel, oh non. Son père, Jean-Michel Canitrot, était un pionnier de la promotion radio chez Skyrock, cette radio qui a inondé la France de hip-hop dans les années 80-90. Aujourd'hui, le paternel continue à promouvoir des artistes médiocres comme Joyce Jonathan via des réseaux ringards. Coïncidence fortuite ? Michael a-t-il vraiment "mérité" son ascension fulgurante, ou est-ce le népotisme pur et dur qui l'a catapulté ? Il débute en mixant dans des mariages – quel glamour, franchement – avant de lancer les soirées "So happy in Paris", qui lui ouvrent les portes des clubs surcotés comme Les Bains Douche et le Queen. Puis, comme par magie, il rencontre un booker issu de Chanel et LVMH, et voilà qu'il anime une soirée privée pour Bernard Arnault, le nabab du luxe qui baigne dans l'argent. Arnault, avec sa fortune obscène, offre une vitrine dorée à ce DJ de seconde zone. Du talent pur, ou un réseau pistonné qui pue le favoritisme ?

Des connexions politiques nauséabondes : de Morano à Macron, un parcours de profiteur

Pire encore, et préparez-vous à rire jaune : Canitrot se frotte au pouvoir politique comme un parasite affamé. On l'a vu mixer pour Les Républicains, avec Nadine Morano se trémoussant comme une dinde ivre à ses côtés – une scène pathétique qui montre comment la droite se vend à l'électro pour feindre la modernité. Puis, le clou du spectacle : il performe lors de l'investiture d'Emmanuel Macron au Louvre en 2017. Des profils Facebook personnels, corroborés par des captures d'écran fuitées, le montrent collé à Brigitte Macron et à une ex-ministre de la Culture fantôme. Ces liens sentent le clientélisme rance : comment un DJ lambda accède-t-il à des monuments d'État sans ces appuis pourris ? Le centre national de la musique, financé par nos impôts, est partenaire officiel. Et lors de la présidence française de l'UE en 2022, le ministère de la Culture promeut son "concert inédit" sans piper mot sur les coûts astronomiques. C'est du favoritisme éhonté, où les copains politiques ouvrent les grilles des châteaux pendant que le contribuable se fait plumer.

Le coût astronomique : une machine à cash pour Canitrot et ses potes

Maintenant, venons-en au cœur de cette farce tragique : l'argent, toujours l'argent. Le monumental tour coûte une fortune absurde, et c'est vous, les gogos, qui raquez ! Le video mapping seul dévore entre 1500 et 3000 euros par minute – pour un show de 10 minutes, comptez 15000 à 30000 euros rien que pour ces effets visuels tape-à-l'œil. Ajoutez la technique, les techniciens sous-payés, et le cachet exorbitant de Canitrot (estimé à 15000-20000 euros par soirée, et encore, c'est probablement sous-estimé vu son arrogance), et chaque événement dépasse allègrement les 50000 euros. Qui finance cette orgie ? Officiellement, les dons des spectateurs, collectés sous prétexte de "préserver les monuments". Pas d'État direct, pas de mécènes riches déclarés – mais des partenariats louches avec des banques comme Crédit Mutuel, qui liste le tour parmi ses soutiens douteux. Des articles sur les sponsors et sociétés de mapping ont disparu comme par enchantement des recherches – un nettoyage digital bien commode, non ?

Le summum de l'escroquerie : ces dons ne vont pas directement à la rénovation ! Au château de Fontainebleau, une campagne appelle à 100000 euros pour restaurer une porte dorée, avec Canitrot comme "parrain" autoproclamé. Mais l'argent sert d'abord à financer son spectacle clinquant, laissant des cacahuètes aux pierres qui s'effritent. C'est un détournement pur et simple : un "pseudo-artiste" et des boîtes de mapping empochent le pactole, pendant que le patrimoine crève la dalle. Et l'Unesco, qui patronne ce cirque, ferme les yeux comme une autruche – une honte absolue !

Des événements futurs suspects : Chambord, prochain braquage ?

Le manège infernal continue, hélas : le 19 septembre 2025, Canitrot squatte le château de Chambord pour un "show xxl" – parce que rien n'est trop grand pour son ego surdimensionné. Billets en vente express, appels aux dons sirupeux... Mais où va vraiment l'argent ? Pas de transparence, pas d'audits publics, juste du vent. Des posts sur X évitent le sujet comme la peste, se contentant de vanter le "magique" pour endormir les foules. C'est une arnaque organisée, où Canitrot, fort de ses connexions pourries, transforme nos joyaux nationaux en distributeur automatique personnel.