La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
James Bond a une longue tradition de générique, fonctionnant comme des courts-métrages censés introduire l’univers du nouvel opus. Pour la troisième fois (GoldenEye et Quantum of Solace), c’est Daniel Kleinman qui s’y colle avec une générique quasi révolutionnaire. Évidemment, on retrouve les figures incontournables : armes et femmes. Mais le mythique gun barrel n’apparait pas (il sera dans le générique de fin) et alors que l’accent est habituellement mis sur le rythme et l’action, ici, c’est au contraire une ambiance ouatée à l’image de la voix d’Adèle. Comme pour rééquilibrer la violence du personnage selon Sam Mendès.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.