Dans le petit monde feutré de la tech française, où les start-ups fleurissent sous l’aile des milliardaires bien-pensants, un scandale vient d’éclater. Et comme par hasard, il est accueilli par un silence de plomb.
Imaginez la scène : un salon feutré du restaurant Laperouse, ce bastion de l'opulence parisienne niché sur la rive gauche de la Seine, où les lustres en cristal diffusent une lumière tamisée sur des nappes amidonnées et des couverts en argent massif.
638 000 dollars, des dîners annuels, une mailing-list privée avec Musk, Bezos, Brin, Page, Gates et Zuckerberg. Pendant que la décennie où il recrutait des mineures, Jeffrey Epstein était le plus gros donateur du think tank le plus prestigieux de la tech mondiale.
« Il y a beaucoup de légendes dans l’industrie de la musique, mais aucune de dépasse selon nous le puissant Dave. Nous avons inclus tout nos travaux autour de Bowie, que ce soit ses titres originaux, des reprises, des productions, des vocalises, n’importe quoi pour rendre hommage à son génie. » Les frères Dewaele, deux Belges derrière Soulwax et 2 Many DJ’s, sont donc bien des fondus du grand Bowie. Avec une grande ambition, ils décident de retracer la vie, la carrière, tout l’univers du chanteur androgyne en une heure. Le film est une petite pépite. Avec une réelle vision artistique, comme ce choix de faire interpréter le rôle du chanteur par une femme. Si c’est Tilda Swinton qui devait d’abord se trouver sur scène, c’est finalement la modèle belge Hannelore Knuts qui se glisse dans la peau du père de Ziggy Stardust. Wim Reygaert, lui, se glisse derrière la caméra et gagne là ses galons de réalisateur d’avenir. Et une certitude, la vie schizophrénique de Bowie est tellement cinématographique.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
En mai 2025, le Festival de Cannes a dévoilé The Phoenician Scheme, le dernier opus de Wes Anderson, un cinéaste dont le style visuel inimitable et les récits excentriques ont redéfini le cinéma d’auteur contemporain.
Le cinéaste Yves Boisset a un jour rencontré une officier de police judiciaire, Éliane, ayant été virée de son poste pour avoir poussé trop loin son enquête sur un réseau pédocriminel composé de notables de la région lilloise.
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