La lecture est-elle en train de disparaître dans notre pays ? Les chiffres récents du Centre national du livre (CNL), publiés le 8 avril 2025 dans la sixième édition de son baromètre bisannuel « Les Français et la lecture » (Les Français et la lecture en 2025), révèlent une tendance inquiétante.
Imaginez un instant que nous soyons le 25 mai 2025. L’intelligence artificielle (IA) ne se contente plus d’être un outil périphérique : elle s’invite au cœur même de la santé mentale, redessinant les contours du métier de psychologue.
Aujourd’hui, alors que nous sommes le 25 mai 2025, il est temps de lever le voile sur des scandales qui, bien que partiellement documentés, restent largement ignorés par le grand public et les médias traditionnels.
Est ce que l’on peut collectionner et donc vendre ou acheter un morceau de code de la même manière qu’un objet culturel ? Est-ce que la fabrication de code peut être considérée comme de l’art ? Voilà deux questions qui vont faire couler beaucoup d’encre cette année. Pour beaucoup de monde, le code n’est pas de l’art mais simplement un outil informatique, presque scientifique. A nos yeux, il est aujourd’hui considéré comme la performance ou l’art vidéo à ses débuts. On ne pouvait acheter une performance, quelle soit physique ou audiovisuelle. C’était un nouveau territoire artistique, et comme toutes nouveautés cela a fait peur au marché de l’art contemporain. Pourtant l’art dématérialisé est l’art de demain. Et l’algorithme est donc sur le point de se transformer en objet d’art.
Le problème qui va maintenant se poser pour les institutions d’art c’est de savoir comment collecter les codes puisqu’un musée est comme une crypte ou un mausolée. Comme le dit très justement l’artiste Daniel Buren, lorsque le travail d’un artiste va au musée, il va y mourir. Et le code a cette spécificité de changer, d’évoluer en permanence. Si vous ne le percevez pas, il est perdu à jamais.
Pensons alors que le code fait aujourd’hui partie de la façon dont nous créons la culture d’aujourd’hui. Pour vous donner un exemple concret, le musée du design Cooper-Hewitt, à New York, a fait l’acquisition l’année dernière d’une application pour iPad mettant en scène les planètes du système solaire qui a donc été reconnue comme une œuvre d’art. Et cela nous semble une première mondiale dans le monde du numérique.
Nous osons donc affirmer ici que le code est une nouvelle forme de poésie. Il n’y a qu’à voir la signature de WordPress, qui est selon nous, le meilleur slogan du XXIème siècle : CODE IS POETRY. Par extension, nous pourrions facilement penser, que les codeurs qui maitrisent cette novlangue, sont aussi les écrivains 2.0 de demain. Il faudra bien un jour révéler celles et ceux qui sont derrière les créations originales d’algorithmes. Dans quelle case alors les musées pourront-ils les classer ? Artistes ? Auteurs ? Performeurs ? La question mérite d’être posée. Et nous ne manquerons pas de vous en faire suivre les avancées…
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.