De Hanoï à l’infini : une gifle qui déterre les secrets sulfureux des Macron
La gifle de Brigitte Macron, un séisme mondial qui ravive les mystères de son passé...
Hanoï, 26 mai 2025. Alors que le soleil décline sur la capitale vietnamienne, Emmanuel Macron, chef de l’État français, se tient face aux journalistes, le visage crispé mais déterminé.
Il vient de conclure des accords historiques – 9 milliards d’euros de contrats, dont 20 Airbus pour Vietjet Air – mais ce n’est pas de cela qu’il parle. Non, ce qui monopolise l’attention, c’est une vidéo virale, capturée la veille à l’aéroport de Noi Bai, où Brigitte Macron, première dame, semble le repousser d’un geste brusque, interprété par beaucoup comme une gifle, à peine les portes de l’Airbus présidentiel ouvertes. "ClaqueGate", comme l’ont surnommé les réseaux sociaux, a enflammé la toile. Mais derrière les moqueries et les spéculations, une vérité plus sombre se murmure en coulisses : Emmanuel Macron, cet homme qui se voulait Jupiter, aurait été vu pleurant à plusieurs reprises, en cachette, par ses conseillers. Apar.TV plonge dans les entrailles de ce non-scandale qui révèle, plus que tout, la fragilité d’un président à bout de souffle.
Le 25 mai 2025, alors que l’Airbus présidentiel atterrit à Hanoï pour la première étape d’une tournée en Asie du Sud-Est, une caméra de l’Associated Press capture un moment inattendu. Brigitte Macron, 72 ans, fait un geste vif vers le visage de son mari, 47 ans, juste avant qu’il ne salue les officiels vietnamiens. Le mouvement, ambigu mais brusque, est immédiatement interprété comme une gifle par les internautes. Sur X, les hashtags #ClaqueGate et #MacronSlapped explosent, alimentés par des comptes hostiles au président, certains liés à des campagnes de désinformation russes, comme le note 20 Minutes (20 Minutes, 26 mai 2025). La Russie, d’ailleurs, s’en donne à cœur joie, surnommant l’incident "Emmanuel-gate" et moquant un président affaibli.
Macron, lui, ne peut ignorer la tempête. Le lendemain, avant un dîner d’État à Hanoï, il prend la parole pour démentir : "J’étais en train de plaisanter avec ma femme, c’est tout. Ce sont des fadas, des farfelus, ceux qui commentent ces vidéos !" (Le Monde, 26 mai 2025). Il accuse les "fadas" de propager des fake news, rappelant d’autres rumeurs récentes – comme celle, grotesque, d’un sac de cocaïne partagé avec des dirigeants étrangers. L’Élysée, de son côté, parle d’un simple "moment de complicité" entre les époux, et Brigitte, lors de la descente de l’avion, refuse ostensiblement le bras de son mari, un détail qui n’échappe à personne.
Mais derrière cette façade de contrôle, une autre réalité se dessine. Selon des confidences recueillies par Apar.TV auprès d’une source proche de l’entourage présidentiel, Emmanuel Macron aurait été profondément affecté par l’incident et ses répercussions. "Il a pleuré plusieurs fois en cachette", murmure un conseiller sous couvert d’anonymat. "Il se sent humilié, pas tant par le geste de Brigitte – il insiste sur le fait que c’était une blague – mais par la manière dont cette vidéo est utilisée pour le ridiculiser à l’échelle mondiale." Ces larmes, discrètes mais répétées, trahissent un président à fleur de peau, usé par huit ans de crises – Gilets jaunes, Covid, guerre en Ukraine – et par une impopularité tenace.
Ces pleurs ne sont pas anodins. Ils rappellent un homme qui, malgré son image d’intellectuel froid et calculateur, a toujours eu une sensibilité à vif. On se souvient de ses larmes publiques en 2018, lors de l’hommage à Charles Aznavour, ou de son émotion mal contenue après l’incendie de Notre-Dame en 2019. Mais cette fois, l’intimité de la douleur change la donne. Pleurer en secret, dans l’ombre d’un palais présidentiel ou d’une suite diplomatique à Hanoï, c’est admettre une vulnérabilité que Macron a toujours combattue. Ses conseillers, eux, sont partagés : certains y voient un homme humain, d’autres un leader fragilisé au pire moment, alors que sa tournée asiatique – qui doit le mener en Indonésie et à Singapour – vise à redorer son image internationale.
En coulisses, une source anonyme de l’Élysée, citée dans des cercles restreints, va plus loin : "C’est mille fois pire que l’affaire Benalla en termes de répercussions." Une affirmation qui, à première vue, semble exagérée, mais qui mérite d’être décortiquée. L’affaire Benalla, en 2018, avait révélé des abus de pouvoir au cœur de l’Élysée, avec des images d’un conseiller présidentiel brutalisant des manifestants. Elle avait entraîné une crise politique majeure, des auditions parlementaires, et une chute durable de la popularité de Macron. "ClaqueGate", en comparaison, n’a pas – encore – d’impact politique mesurable. Les sondages récents, bien que non cités dans les articles, ne montrent pas de baisse significative, et les contrats signés à Hanoï témoignent d’une diplomatie qui suit son cours.
Mais l’impact symbolique, lui, est indéniable. Benalla avait mis à nu les dérives institutionnelles ; "ClaqueGate" expose une fragilité personnelle. À l’heure où la France est ciblée par des campagnes de désinformation – notamment russes, comme le note Le Monde – cette vidéo devient une arme pour les détracteurs de Macron. Elle le ridiculise, le dépeint comme un homme dominé, incapable de tenir les rênes, même dans sa sphère intime. Pour un président qui a bâti son image sur la maîtrise et l’autorité, c’est un coup dur. Et les larmes en coulisses, si elles sont confirmées, ne font qu’amplifier cette impression d’un homme au bord du gouffre.
L’histoire d’Emmanuel et Brigitte Macron a toujours fasciné. Lui, l’élève brillant ; elle, son ancienne professeure, de 24 ans son aînée. Leur relation, née dans un lycée d’Amiens, a défié les conventions, et ils se sont mariés en 2007. Mais sous les projecteurs du pouvoir, les fissures apparaissent. La vidéo de Hanoï, bien que banale en soi, ravive les spéculations sur leur dynamique. Pourquoi Brigitte refuse-t-elle son bras en descendant de l’avion ? Était-ce vraiment une plaisanterie, ou un geste de frustration, un éclat d’une tension plus profonde ? Les rumeurs de disputes, alimentées par des médias comme Fox News (Fox News, 26 mai 2025), ne cessent de croître, malgré les démentis.
Et puis il y a la désinformation, un fléau que Macron dénonce avec vigueur. "ClaqueGate" n’est pas un incident isolé. Il s’inscrit dans une série de vidéos détournées visant à le déstabiliser – des images sur un train à Kyiv, où certains ont prétendu qu’il consommait de la cocaïne, aux rumeurs persistantes sur sa vie personnelle. Comme l’analyse Medium, ces distractions pourraient affaiblir sa crédibilité diplomatique, surtout dans une région où la France cherche à contrer l’influence chinoise et américaine (Medium, 26 mai 2025).
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