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Le Chemsex, un fléau mortel qui ronge les élites françaises – Quand la drogue frappe au cœur du pouvoir

Cette pratique, le chemsex, mélange toxique de sexe et de drogues dures, n'est plus l'apanage des marges underground. Elle frappe désormais au sommet, semant la mort en silence.

Le Chemsex, un fléau mortel qui ronge les élites françaises – Quand la drogue frappe au cœur du pouvoir

Et si les médias mainstream balaient d'un revers de main toute interrogation sur ces "suicides" ou "overdoses accidentelles" en les qualifiant de "complotisme", il est temps de poser les questions que personne n'ose : qui protège qui ?

GHB, cocaïne et chemsex : Enquête sur les dérives toxiques de l’élite macronienne
Snif, snif, le pouvoir qui monte... et qui retombe en vrille. Du 3-MMC financé sur frais de mandat au GHB qui emporte un pilier vendéen en pleine orgie chemsex, les cracks de la Macronie transforment l’Élysée en trip-hop fatal. La France sniffe, la République tousse du sang.

Et jusqu'où ira ce carnage discret ? Cette enquête, basée sur des sources judiciaires et médicales, révèle un cluster alarmant de décès autour du chemsex, un phénomène qui rappelle les mystères non élucidés des agents de la DGSE retrouvés en début d'année dans un parking souterrain, armes de service à portée de main, ou ces diplomates précipités du haut de leur chambre d'hôtel parisienne.

La mort mystérieuse de l’ancien conseiller de Douste-Blazy relance le débat sur le chemsex
La paisible ville de Fontainebleau, célèbre pour son château historique et ses paysages sereins, est devenue le théâtre d’une tragédie qui a plongé les cercles culturels et intellectuels français dans un profond choc.

Paris, jadis refuge sûr pour les femmes et les enfants la nuit, n'est plus qu'un piège mortel pour les politiques et les émissaires. Les questions en suspens s'accumulent, et le silence des puissants est assourdissant.

Un cluster mortel à Tours : Trois morts en un mois, et le silence des élites

Tout commence à Tours, cette ville cossue d'Indre-et-Loire, loin des flashs parisiens. Le 15 septembre 2025, Laurent Caillaud, 56 ans, conseiller régional Les Républicains des Pays de la Loire, s'effondre dans un appartement anonyme. Proche du ministre Bruno Retailleau, ce militant de longue date – élu en 2021 et soutenu par le même Retailleau lors des législatives de 2024 – n'est pas mort d'un banal accident cardiaque.

Non : il a participé à une soirée chemsex, apportant lui-même les doses fatales de MDMA et de 3-MMC. Rencontré via Grindr avec deux hommes pour des relations sexuelles, il succombe sur place. L'autopsie du 22 septembre confirme une suspicion d'overdose, mais des examens toxicologiques traînent, scrutant d'éventuelles impuretés dans ces poisons de synthèse. Père d'un ancien député vendéen, Caillaud incarne le profil type : un pilier de la droite morale, terrassé par le vice qu'il dénonçait peut-être en public.

Mais Caillaud n'est pas une anomalie. En moins d'un mois, Tours enregistre un trio infernal de drames liés au chemsex. Le 7 septembre, Aurélien Aujamé – de son vrai nom Éric Parot, chanteur connu dans les cercles artistiques – est assassiné à coups de barre d'haltérophilie par son propre compagnon dans leur appartement. Le parquet signale des traces de consommation de substances, un cocktail qui a transformé une nuit de plaisir en bain de sang.

Puis, le 30 septembre, Denis Raisin Dadre, flûtiste de 69 ans, est découvert inanimé chez lui. Une enquête pour homicide volontaire s'ouvre aussitôt, évoquant une soirée chemsex potentiellement violente. Aucune preuve d'un lot de drogue frelaté n'émerge pour l'instant, mais les enquêteurs scrutent les circuits locaux via les apps de rencontre. Trois morts en 23 jours : coïncidence ? Ou symptôme d'un fléau qui dévore les corps et les âmes ?

Le chemsex : Un tueur en série qui frappe 100 000 victimes, et les morts s'accumulent

Le chemsex n'est pas un jeu. Cette orgie chimique, qui touche entre 100 000 et 200 000 personnes en France – majoritairement dans la communauté gay –, explose de 30 % en urgences pendant le confinement Covid-19.

Une étude de 2023 dresse un bilan glaçant : sur 333 cas graves, 50 décès directs, souvent dus à des mélanges toxiques comme le GHB et la méthylone. Sandrine Rousseau, députée écologiste, alerte : une overdose chemsex tous les 12 jours en France, sans données officielles fiables pour masquer l'ampleur du désastre. En mars 2025, un rapport adopté par des députés de tous bords appelle à une stratégie nationale de prévention – dépistage VIH, éducation aux risques –, mais où est l'urgence ?

Les experts pointent un tabou tenace : la sexualité masculine en politique reste un no man's land, freinant témoignages et aides ciblées.

Et les figures publiques tombent comme des dominos. En 2023, l'affaire Pierre Palmade révèle des overdoses chez les célébrités, sans décès politique direct avant Caillaud.

Mais à Bordeaux, en mars-avril 2024, trois morts chemsex incluent un ancien directeur adjoint de prison : les institutions saignent. Tant de morts en si peu de temps – Tours, Bordeaux, et demain Paris ? – que l'on ne peut s'empêcher de tracer des parallèles avec les affaires troubles du renseignement.

Souvenez-vous : début 2025, ces agents de la DGSE retrouvés dans un parking parisien, armes de service à côté, "suicides" officiels qui puent le cover-up. Ou ces diplomates, corps brisés en bas de leur hôtel, versions officielles lisses comme un communiqué de Quai d'Orsay.

Le chemsex, avec ses overdoses "accidentelles", suit le même script : morts isolées, enquêtes bâclées, et les médias stream – TF1, BFM – qui hurlent "complot" à quiconque ose questionner. Mais poser des questions, ce n'est pas du complotisme ; c'est de la vigilance citoyenne.

Paris, ville maudite : Des femmes et enfants aux politiques, la nuit n'épargne plus personne

Autrefois, Paris était synonyme de magie nocturne, un havre pour les femmes et les enfants flânant sans crainte sous les réverbères. Aujourd'hui ? Un charnier discret. Les diplomates tombent des balcons, les agents du renseignement se "suicident" en chœur, et voilà que les politiques succombent au chemsex dans l'ombre des provinces, mais avec l'empreinte indélébile de la capitale. Tours n'est qu'à deux heures de train de Paris ; Bordeaux, un TGV.

Ces morts ne sont pas isolées : elles dessinent un réseau de vulnérabilités, où la drogue n'est que le prétexte, et le pouvoir, le vrai poison. Qui fournit ces lots mortels via Grindr ? Des cartels anonymes, ou pire, des ombres plus hautes ? Les enquêtes piétinent, les autopsies s'éternisent, et les familles – comme celle de Caillaud, orpheline d'un pilier vendéen – pleurent en silence.

Le chemsex n'est pas une "liberté individuelle" : c'est un génocidaire lent, qui ronge les élites et expose les failles d'un système. 50 morts en 333 cas graves, des clusters en série, et un rapport parlementaire ignoré : combien de Caillaud faudra-t-il pour que l'État agisse ?

Les médias nous somment de taire nos doutes, de gober les "overdoses solitaires". Mais face à tant de questions en suspens – liens entre ces morts, circuits de drogue intouchables, tabous politiques –, mieux vaut questionner que se taire. Car si Paris n'est plus sûre pour les puissants, qui le sera demain ? La drogue ne discrimine pas : elle tue, et elle rit de nos silences complices. Il est temps de briser le voile.


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