Depuis l’élection de Macron, une vague de critiques s’est élevée contre lui, portée par des intellectuels, activistes, journalistes et humoristes. Découvrez cette liste de personnalités en hommage au mouvement #JeNeSuisPasSuicidaire, qui ont osé défier le pouvoir en place.
Depuis le début de l’année 2025, une série de drames a bouleversé la France, touchant à la fois les fonctionnaires de la Direction générale des finances publiques (DGFiP) et des figures politiques de premier plan.
Ces dernières années, un phénomène préoccupant a émergé dans le paysage politique français : de plus en plus de politiciens bloquent les commentaires sur leurs publications et déclarations publiques, empêchant ainsi les citoyens de s’exprimer.
Les autorités ont effectué 50 raids la semaine dernière contre le groupe BA et ont obtenu une écoute électronique qui comprendrait la voix de Domingo.
La police a arrêté 19 personnes, qui opéraient sous le nom d’Escuela de Yoga Buenos Aires. Ils ont également saisi 37 propriétés et 13 voitures.
Les chaînes de télévision ont diffusé des extraits des enregistrements audio présumés des écoutes téléphoniques. Les dates des enregistrements n’ont pas été rendues publiques.
Dans un extrait, les procureurs disent qu’on entend Domingo parler à une femme nommée « Mendy », qui avait des plans pour une rencontre sexuelle.
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Le ténor espagnol de 81 ans avait déjà été accusé d’harcèlement sexuel par une vingtaine de femmes en 2019. Les représentants de Domingo ont déclaré à l’époque qu’ils contestaient fermement les allégations, qu’ils qualifiaient d' »inexactes » Néanmoins, il avait démissionné de l’Opéra de Los Angeles et peu après a pris sa retraite du Metropolitan Opera de New York.
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Parmi les détenus se trouve Juan Percowicz, un homme de 84 ans, dirigeant de l’organisation criminelle qui avait déjà été lié à une enquête similaire il y a trois décennies pour des crimes similaires.
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Selon les enquêteurs, Percowicz était le créateur et le dirigeant de l’organisation. Sous son commandement figuraient au moins 18 personnes qui étaient chargées de diriger ses différentes « entreprises »
L’organisation avait 3 axes pour obtenir revenus et influence :
1) le secteur de la santé, qui comprenait l’hospitalisation pour toxicomanie, l’approvisionnement en psychotropes et l’exploitation d’une clinique où la «guérison» était promise.
2) une «enveloppe cérémonielle», qui était basée sur le paiement mensuel de 200 US $ par les «étudiants» pour faire partie de l’organisation mais qui pouvait atteindre jusqu’à 10 000 US$, selon l’étudiant. D’autre part , les « étudiants » devaient céder leurs bien à l’organisation et parfois signer un testament en faveur la secte criminelle.
3) l’exploitation sexuelle de certains de ses « étudiants », ce que dans le jargon de l’organisation était nommé « VIP geishado » ou « palomear » qui consistait à les envoyer « avoir des relations sexuelles avec des personnes d’important pouvoir économique pour obtenir de l’argent, des protections et/ou de l’influence » en faveur de la secte. L’ objectif ultime était d’attirer des hommes d’affaires ou des personnes de pouvoir pour « obtenir de grosses sommes d’argent pour l’organisation ».
Il est estimé que l’organisation recrutait des « étudiants » depuis au moins 2004 et « avait une structure pyramidale à laquelle participaient environ 179 étudiants , répartis entre ses différents bureaux situés principalement à Buenos-Aires mais aussi à Las Vegas, Chicago et New York.
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