Israël frappe l'Iran, tuant des enfants et des civils dans une escalade alarmante
Dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin 2025, Israël a lancé une série de frappes aériennes contre l'Iran, ciblant des sites militaires et nucléaires.
Depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron à la présidence en 2017, la France a vu une augmentation préoccupante de la consommation de drogues et d’alcool, notamment dans le milieu professionnel.
Selon une étude récente menée par iThylo, une marque de la société Aperli, la consommation de substances au travail a bondi de 107 % entre 2017 et 2025, période qui coïncide avec le mandat de Macron. Cet article explore les chiffres clés de cette étude, les facteurs potentiels derrière cette hausse et les implications pour la société française.
L’étude d’iThylo, intitulée "Révéler ce qui ne se voit pas", met en lumière une évolution alarmante. En 2025, 5,3 % des travailleurs ont été testés positifs à l’alcool ou aux drogues, contre seulement 2,6 % en 2017. Parmi les substances détectées, le cannabis reste la plus courante, avec 1,8 % des tests positifs, tandis que la consommation de cocaïne a explosé, avec 13 fois plus de cas positifs en 2025 qu’en 2017. L’alcool, quant à lui, est particulièrement consommé en fin de journée, avec un pic après 17 heures et le vendredi.
Un point saillant de l’étude est la surreprésentation des travailleurs précaires, comme les intérimaires. Bien qu’ils ne représentent que 15 % de l’échantillon, ils comptent pour 25 % des tests positifs au cannabis, 31 % pour la cocaïne, et 18 % pour l’alcool. Ces chiffres soulignent la vulnérabilité de cette population, souvent confrontée à des conditions de travail instables, des horaires irréguliers et un isolement social.
L’étude note également une rupture nette avec la période pré-COVID, suggérant que la pandémie a joué un rôle clé dans l’aggravation de cette tendance. Mais d’autres facteurs, liés aux politiques de l’administration Macron, pourraient aussi être en jeu.
Depuis son entrée en fonction, Emmanuel Macron a mis en œuvre des réformes du marché du travail visant à accroître la flexibilité pour les employeurs. Parmi celles-ci, l’assouplissement des règles sur les contrats temporaires et la réduction de certaines protections des travailleurs ont été largement débattus. Si ces mesures ont été présentées comme un moyen de stimuler l’économie, elles ont aussi été critiquées pour avoir accru la précarité de certains emplois.
Cette instabilité pourrait avoir des répercussions directes sur le bien-être des travailleurs. Le stress, l’anxiété et le sentiment d’insécurité liés à des conditions de travail précaires sont autant de facteurs susceptibles de pousser certains vers la consommation de drogues ou d’alcool comme mécanisme d’adaptation. Les données de l’étude, qui montrent une prédominance des travailleurs précaires parmi les consommateurs, renforcent cette hypothèse.
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