La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Larry Clark vient de lancer un pavé dans la marre, ou plutôt une montagne dans l’océan de l’industrie du cinéma. Certes, nous avions eu des Donoma ou des Rengaine, du côté du DIY. Il y a également eu des dizaines, des centaines de jeunes réalisateurs qui ont utilisé internet pour financer et distribuer leurs films. Oui, le phénomène n’est pas nouveau. Sauf que, jamais un homme, qui comptait dans sa filmo un film culte (qui a révélé Chloë Sevigny), n’a annoncé son utilisation d’internet lors d’une conférence de presse faisant suite à la remise du Prix Marc-Aurèle du meilleur film au festival de Rome. Non, ce n’est pas un gamin en manque de réseau, de financement ou de reconnaissance qui vient de tendre le plus beau majeur du cinéma du 3ème millénaire. «Je voulais dire « Fuck » à Hollywood (…) Si tout le monde regarde des films sur son ordinateur, télécharge des séries télé et passe sa vie sur YouTube, si les jeunes passent leur temps devant leurs ordinateurs à organiser des soirées, draguer des filles, alors il faut aller à eux et leur proposez des films en ligne !» Le bonhomme a 69 ans et il est plus révolutionnaire que toi dans ton canapé. On range nos t-shirt Ché Guevara et Sex Pistols, le punk, c’est lui. En voulant éviter « les producteurs escrocs« , Larry Clark a rendu l’art au peuple. Le principal. Vous savez quoi ? Gardez l’économie, on prend l’art. Le film est dispo, ici, dès minuit dans la nuit de mardi à mercredi pour 6 dollars. Valable pour 24h seulement. On suit la réussite de près.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.