Depuis le début de l’année 2025, une série de drames a bouleversé la France, touchant à la fois les fonctionnaires de la Direction générale des finances publiques (DGFiP) et des figures politiques de premier plan.
Ces dernières années, un phénomène préoccupant a émergé dans le paysage politique français : de plus en plus de politiciens bloquent les commentaires sur leurs publications et déclarations publiques, empêchant ainsi les citoyens de s’exprimer.
Le 7 juillet 2025, Olivier Marleix, député français et figure respectée des Républicains (LR), a été retrouvé mort à son domicile, officiellement victime d’un "suicide" à l’âge de 54 ans.
L’amour en 2025 est une créature mutante. Un être hybride, oscillant entre hyper-rationalisation et romantisme de poche. Plus question de perdre son temps avec des amourettes inconsistantes, nous disent les nouvelles tendances. Les célibataires veulent des intentions claires, des connexions profondes, un “future-proofing” relationnel. En clair, on ne cherche plus l’amour, on l’optimise.
Mais optimisé pour quoi ? Pour l’éternité ? Soyons honnêtes : l’éternité fait peur. Ce que nous voulons aujourd’hui, c’est l’amour qui fait sens dans l’instant, et tant pis s’il faut le rebooter dans cinq ans.
Il y a un an à peine, je vous écrivais ceci sur instagram :
« Ces dernières années, nous avons assisté à une évolution fascinante de l’intelligence artificielle dans des domaines autrefois réservés à la science-fiction, notamment dans les relations humaines. Des plateformes émergent, proposant des amis virtuels ou des petites amies IA pour répondre aux besoins émotionnels des plus isolés. Ces outils, bien que surprenants, soulèvent des questions profondes sur la nature des relations et sur notre dépendance croissante à la technologie pour combler des besoins affectifs.
Selon mes données et les recherches actuelles, il est projeté que d’ici quelques années, environ 51% de la prochaine génération pourrait avoir sa première relation amoureuse et pseudo-sexuelle avec une IA. Ce chiffre peut paraître étonnant, mais il reflète une tendance croissante où les jeunes recherchent des interactions émotionnelles facilitées par la technologie. »
Je me demandais alors si nous étions en train d’externaliser nos besoins affectifs à des intelligences artificielles, prêtes à nous écouter sans jamais nous contredire, à nous valoriser sans jamais nous frustrer. L’amour, dans ce modèle, devenait un service à la demande, une dopamine sans risque, un dopage émotionnel sans coût social.
Et où en sommes-nous en 2025 ? Les IA romantiques n’ont pas remplacé l’amour humain. Pas encore. Mais elles ont infiltré la mécanique du désir. L’humain, habitué à l’instantané, au sur-mesure, devient de plus en plus exigeant. Il veut l’intensité sans la patience, la connexion sans le conflit. Alors il applique ces attentes aux relations humaines, et là, c’est le drame.
Le résultat ? Nous ne tolérons plus les aspérités du réel. L’autre doit être parfait, aligné, optimisé. Et s’il ne l’est pas ? Swipe. Prochaine rencontre. Prochaine illusion. La technologie nous a appris qu’il existe toujours une meilleure option à portée de clic. Mais que se passe-t-il quand on ne sait plus aimer sans garantie de satisfaction immédiate ?
Hommes, femmes : le décalage persiste
Que veulent les hommes, que veulent les femmes ? La question semble d’un autre siècle, mais elle persiste. Car derrière le discours des désirs alignés, une fracture demeure.
Les hommes, nous dit-on, sont fatigués. Fatigués des applications, fatigués du sentiment d’être évalués comme un produit sur un marché hyperconcurrentiel. Ils rêvent de spontanéité, de connexions organiques, mais peinent à les recréer hors des algorithmes. Ils veulent séduire, mais hésitent, paralysés par la peur du rejet, de l’inconfort, des nouvelles normes qu’ils ne maîtrisent pas toujours.
Les femmes, elles, revendiquent des attentes plus élevées. Elles ne veulent plus éduquer, elles veulent être comprises. Elles recherchent des partenaires fiables, capables d’un véritable engagement émotionnel et non de simples performances de la séduction. Fini le romantisme adolescent, place à la compatibilité réfléchie.
Le paradoxe ? Chacun semble aspirer à l’authenticité, mais dans un cadre hyper-sécurisé. On veut l’alchimie, mais sans le chaos. On veut le désir, mais sans la peur de l’abandon. Or, l’amour a toujours été une prise de risque. En cherchant à l’optimiser, ne sommes-nous pas en train de le stériliser ?
L’amour sans hasard : progrès ou régression ?
Les algorithmes ont transformé la quête amoureuse en une science de la compatibilité. En 2025, les applis de rencontre ont intégré des IA prédictives qui nous disent qui correspondra le mieux à nos valeurs, notre mode de vie, notre vision du monde. Le hasard n’a plus sa place.
À première vue, c’est une révolution. On réduit le risque de tomber sur un partenaire toxique, on économise des mois d’attente et de doutes. Mais que devient l’amour sans l’imprévisible ? Le coup de foudre algorithmique est-il encore un coup de foudre, ou juste un calcul réussi ?
Pire encore : si nos désirs sont constamment validés par des algorithmes qui nous donnent exactement ce que nous voulons, comment évoluerons-nous ? L’amour a toujours été une force de transformation. Mais peut-on encore changer, se surprendre, s’adapter à l’autre, quand tout est optimisé pour nous éviter l’inconfort ?
L’amour, version bêta perpétuelle
Nous avons déconstruit le romantisme naïf. Nous avons analysé nos relations avec des outils sociologiques, psychologiques, neurologiques. Nous savons tout sur l’amour, sauf comment le vivre sans le tuer.
L’amour en 2025 ressemble à une application en version bêta perpétuelle. On le teste, on l’update, on le désinstalle quand il ne convient plus. On dit rechercher l’authenticité, mais combien osent encore la vulnérabilité, la patience, l’acceptation de l’Autre dans toute son imperfection ?
Alors que faire ? Peut-être faut-il simplement réapprendre à aimer hors-ligne. À accepter que l’amour ne soit pas toujours une équation parfaite. À admettre que le doute, le mystère et même la frustration font partie du jeu. Parce que si l’amour est une anomalie dans la logique froide du monde, alors c’est précisément cette anomalie qui lui donne sa valeur.
Et si, en 2025, la vraie révolution était d’accepter l’amour sans le contrôler ?
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