La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Les sanctions prises par l’Union Européennes risquent-elles de se retourner contre l’UE? En tout cas, moins d’une année après la décision de l’Europe de se tourner du gaz russe, les conséquences commencent déjà à se faire sentir. Et l’Allemagne, première puissance économique européenne, risque d’en payer les frais.
C’est du moins ce que nous apprend le média britannique The Telegraph. En effet, d’après cette source, Bettina Stark-Watzinger, ministre allemande de l’Education nationale, a prévenu l’Etat allemand que des classes d’écoles pourraient être fermées dès la rentrée prochaine si le pays n’arrivait plus à s’approvisionner en gaz russe.
Il convient de rappeler que la décision prise par l’UE de se tourner du gaz russe a toujours été vu d’un mauvais œil par Berlin dont l’économie est très dépendante de ce précieux sésame en provenance de Moscou. D’ailleurs, en avril dernier, l’Allemagne avait défié l’UE en annonçant qu’elle continuera d’acheter du gaz russe.
C’est du moins ce que nous avait appris l’agence de presse Reuters. En effet, d’après cette source qui cite un porte-parole du gouvernement allemand, Berlin avait catégoriquement refusé un embargo sur le gaz et pétrole russe mais avait aussi refusé, tout de même, de payer ses achats de gaz russe en roubles, comme l’exigeait Vladimir Poutine.
L’Allemagne aurait intérêt à refuser catégoriquement un embargo sur le gaz russe. Car, d’après les informations fournies par la chaîne CNNqui cite 5 instituts allemands spécialisés en économie, Berlin perdrait près de 240 milliards de dollars au cas où il n’aurait plus accès au gaz russe.
Le gazoduc Nord Stream I relie directement les champs gaziers sibériens au nord de l’Allemagne (archives).
La situation s’est compliquée entre-temps pour la première puissance économique européenne. Car, en juin dernier, plusieurs médias dont US News avaient révélé que l’embargo sur le gaz russe coûterait 5 milliards de dollars par an à l’Allemagne. Le média dit tenir sa source de l’hebdomadaire allemand Welt am Sonntag. L’information a été confirmée par l’agence de presse, Reutersqui cite la même source.
Ces dernières heures, sur Twitter, la nouvelle d’une éventuelle annulation de cours en Allemagne en raison de l’embargo sur le gaz russe n’a pas manqué de déclencher des réactions, parfois cocasses.
Vous connaissez »L’arroseur arrosé »des freres Lumiere? »..L’Allemagne pourrait fermer des classes d’écoles si la Russie coupe le gaz.. »⤵️..Fallait peut-etre y penser avant?Bravo l’UE+Scholz!) https://t.co/dkxIZtGzPi
Artiste conceptuelle, critique d'art et historienne, Mary est célèbre pour son analyse critique du régime autonome de l'art hérité de la tradition moderniste.
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