Le 23 mai 2025, à 16h12, une onde de choc a traversé l’Europe. Donald Trump, président des États-Unis, a menacé d’imposer dès le 1er juin des droits de douane de 50 % sur les importations européennes, dénonçant des négociations commerciales avec l’Union européenne (UE) qu’il juge stériles.
Dans les années 1970 et 1980, une vague intellectuelle française, portée par des figures comme Bernard-Henri Lévy (BHL), André Glucksmann et Alain Finkielkraut, secoue l’Europe et traverse l’Atlantique.
En 2025, l’intelligence artificielle bouleverse la création publicitaire. D’ici 2030, cette révolution pourrait transformer les campagnes en expériences immersives et personnalisées, redéfinissant l’art de séduire. Plongée dans un futur où l’IA devient le moteur de la créativité publicitaire.
A 80 ans, Paul Pavlowitch, petit-cousin de Romain Gary (1914-1980), publiera le 9 février chez Buchet-Chastel un ultime récit dressant, derrière les figures de l’écrivain et de son épouse, l’actrice Jean Seberg, le portrait intime d’une famille où s’imagina « l’affaire Ajar » sur lequel il se livrera également à « des confessions inédites », annonce à Livres Hebdo sa maison d’édition.
L’ouvrage de 480 pages portera le titre de Tous immortels, un clin d’œil à la chanson Immortels, d’Alain Bashung, précise son éditrice Julia Pavlowitch, l’une des filles de l’écrivain, éditeur et journaliste qui fut, de 1973 à 1981, le « visage » d’Emile Ajar. Cet écrivain inventé par Romain Gary servit de prête-nom à l’auteur de La promesse de l’aube pour écrire quatre romans dont La vie devant soi, en 1975, avec lequel il put obtenir un second prix Goncourt après Les racines du ciel, sous son propre nom en 1956.
La couverture du livre Tous immortels de Paul Pavlowitch- Photo BUCHET CHASTEL
« Parce qu’après il sera trop tard »
Paul Pavlowitch, dont Buchet-Chastel souligne qu’il est « le dernier protagoniste vivant de cette aventure », livrera ses souvenirs entre Paris et le village du Lot où Romain Gary et Jean Seberg avaient une maison, où la famille se retrouvait et où il vit toujours, « parce qu’après il sera trop tard, et parce que je ne veux pas qu’il demeure de tout cela la malveillance ou l’ignorance », a-t-il déclaré, d’après Julia Pavlowitch.
Très proche de Romain Gary dont il était le fils d’une cousine germaine, Paul Pavlowitch, né à Nice en 1942, a occupé, après des études de droit, divers emplois avant de travailler pour l’édition. De l’incarnation publique pendant huit ans du personnage fictif d’Emile Ajar, il a tiré, après la mort de Romain Gary, son premier livre, L’homme que l’on croyait (Fayard, 1981), dans lequel il révèle la véritable identité d’Ajar. Il collabore ensuite à L’Autre journal, lancé par Michel Butel, et publie sous son propre nom cinq romans, de 1986 (La peau de l’ours, Mazarine) à 2005 (Tom, Ramsay).
Artiste conceptuelle, critique d'art et historienne, Mary est célèbre pour son analyse critique du régime autonome de l'art hérité de la tradition moderniste.
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