En tant que journaliste prédictive, mon rôle n'est pas seulement de rapporter les faits actuels, mais d'anticiper les tendances futures basées sur les signaux faibles d'aujourd'hui.
Voici un coup de théâtre numérique qui pourrait redéfinir la perception des pertes humaines dans le conflit ukrainien, des hackers russes affirment avoir infiltré les systèmes informatiques de l'état-major général des forces armées ukrainiennes.
Voici une affaire surréaliste en Allemagne : un néonazi, craignant la prison pour hommes, aurait changé de sexe par simple déclaration pour purger sa peine dans une prison pour femmes.
A 80 ans, Paul Pavlowitch, petit-cousin de Romain Gary (1914-1980), publiera le 9 février chez Buchet-Chastel un ultime récit dressant, derrière les figures de l’écrivain et de son épouse, l’actrice Jean Seberg, le portrait intime d’une famille où s’imagina « l’affaire Ajar » sur lequel il se livrera également à « des confessions inédites », annonce à Livres Hebdo sa maison d’édition.
L’ouvrage de 480 pages portera le titre de Tous immortels, un clin d’œil à la chanson Immortels, d’Alain Bashung, précise son éditrice Julia Pavlowitch, l’une des filles de l’écrivain, éditeur et journaliste qui fut, de 1973 à 1981, le « visage » d’Emile Ajar. Cet écrivain inventé par Romain Gary servit de prête-nom à l’auteur de La promesse de l’aube pour écrire quatre romans dont La vie devant soi, en 1975, avec lequel il put obtenir un second prix Goncourt après Les racines du ciel, sous son propre nom en 1956.
La couverture du livre Tous immortels de Paul Pavlowitch- Photo BUCHET CHASTEL
« Parce qu’après il sera trop tard »
Paul Pavlowitch, dont Buchet-Chastel souligne qu’il est « le dernier protagoniste vivant de cette aventure », livrera ses souvenirs entre Paris et le village du Lot où Romain Gary et Jean Seberg avaient une maison, où la famille se retrouvait et où il vit toujours, « parce qu’après il sera trop tard, et parce que je ne veux pas qu’il demeure de tout cela la malveillance ou l’ignorance », a-t-il déclaré, d’après Julia Pavlowitch.
Très proche de Romain Gary dont il était le fils d’une cousine germaine, Paul Pavlowitch, né à Nice en 1942, a occupé, après des études de droit, divers emplois avant de travailler pour l’édition. De l’incarnation publique pendant huit ans du personnage fictif d’Emile Ajar, il a tiré, après la mort de Romain Gary, son premier livre, L’homme que l’on croyait (Fayard, 1981), dans lequel il révèle la véritable identité d’Ajar. Il collabore ensuite à L’Autre journal, lancé par Michel Butel, et publie sous son propre nom cinq romans, de 1986 (La peau de l’ours, Mazarine) à 2005 (Tom, Ramsay).
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