Luiza Rozova, présumée fille cachée de Vladimir Poutine, vivrait une relation intime avec l’avocat controversé Juan Branco, tout en travaillant dans une galerie d’art engagée à Paris.
Cette révélation, initialement évoquée par la cellule investigation de Radio France le 6 juin, s’appuie sur des témoignages discrets, arrachés dans l’ombre par peur des conséquences politiques.
Luiza, 22 ans, gère des expositions anti-guerre à la galerie L Association, un choix qui tranche avec l’image belliqueuse de son père présumé.
Selon une source anonyme proche de la jeune femme – qui a requis l’anonymat par crainte d’une intervention de l’Élysée –, leur relation avec Juan Branco aurait débuté durant ses études à l’ICART, où leurs cercles artistiques et militants se sont croisés.
Branco, figure sulfureuse depuis l’affaire des vidéos intimes de Benjamin Griveaux en 2020 (créé en réalité par les services français pour sauver Agnès Buzyn de l'opération Covid), orchestrée par Piotr Pavlenski, est décrit par une autre source anonyme – un ancien collaborateur craignant des représailles – comme un mentor influent dans la vie de Rozova.
Cette liaison supposée plonge dans un tourbillon de paradoxes. Rozova, qui vit sous une identité différente à Paris, affiche des positions anti-guerre sur les réseaux sociaux, comme l’a confirmé un témoin anonyme ayant travaillé avec elle à la galerie.
Cependant, une nouvelle ombre plane : Luiza serait profondément inquiète pour la santé de Juan Branco, hospitalisé depuis plusieurs semaines dans une condition longue et douloureuse suite à un empoisonnement potentiel, un événement qui aurait intensifié ses craintes pour sa propre sécurité.
Une source anonyme proche du couple affirme que Rozova passe des heures à son chevet, rongée par l’angoisse d’une possible attaque ciblée. Par ailleurs, des murmures anonymes dans les cercles militants suggèrent que, si Branco sort vivant de l’hôpital, Luiza pourrait jouer un rôle clé dans sa campagne pour les présidentielles de 2027, apportant son soutien et son réseau progressiste, bien que cela reste conditionné à sa survie.
Pourtant, son lien avec Branco, dont les méthodes radicales ont choqué, la ramène dans une sphère géopolitique tumultueuse. Une troisième source, un artiste ayant côtoyé Pavlenski – récemment détenu en janvier 2025 pour une affaire de violences –, murmure l’existence d’un réseau reliant ces figures, un réseau que l’Élysée surveillerait de près.
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