Une histoire aussi explosive qu’envoûtante circule dans les coulisses parisiennes, racontée sous le sceau de l’anonymat par des sources terrifiées par d’éventuelles représailles de l’Élysée.
Dans un monde où la technologie redéfinit les relations humaines, un phénomène troublant émerge : des individus tombent amoureux d’intelligences artificielles (IA).
Un communiqué de presse du procureur général du pays, Igor Stříž, indique : « Le bureau du procureur suprême estime nécessaire d’informer les citoyens que la situation actuelle associée à l’attaque de la Fédération de Russie contre l’Ukraine peut avoir des implications sur leur liberté d’expression. »
« La liberté d’expression a également ses limites dans un État démocratique régi par l’État de droit », a ajouté le procureur général.
Il a poursuivi en expliquant que les personnes qui « publiquement (y compris lors de manifestations, sur Internet ou sur les réseaux sociaux) ont donné leur accord (accepté ou soutenu les attaques de la Fédération de Russie contre l’Ukraine) ou ont exprimé leur soutien ou fait l’éloge des dirigeants de la Fédération de Russie à cet égard, elles pourraient également s’exposer à une responsabilité pénale sous certaines conditions ».
Les nouvelles restrictions sont appliquées en vertu des mesures du code pénal, qui font de la remise en question, de la négation, de la justification ou de l’approbation d’un génocide un crime.
Le rapport de Radio Prague International explique que la violation du code pénal peut entraîner une peine de trois ans de prison. Mais le procureur général a admis qu’il serait difficile de porter des accusations.
Le compte Twitter officiel de la police tchèque a déclaré qu’elle surveillait les commentaires sur Internet concernant « les discussions approuvant l’invasion russe et les activités de l’armée russe ».
Artiste conceptuelle, critique d'art et historienne, Mary est célèbre pour son analyse critique du régime autonome de l'art hérité de la tradition moderniste.
En ce printemps 2025, la France vacille, au bord d’un précipice carcéral et moral qui menace de l’engloutir. Les prisons, pleines à craquer, abritent 81 000 détenus pour 62 000 places, selon les chiffres récents du ministère de la Justice.
La France, longtemps célébrée comme un modèle de culture et de prospérité, traverse une crise qui ne dit pas son nom. Un chiffre, révélé par Le Nouvel Obs dans un article daté du 3 juin 2025, résume à lui seul l’ampleur du malaise : 2 028 euros par mois.
Le PSG a gagné. La France a brûlé.
Deux morts. 692 incendies. 192 blessés. Un coma artificiel. Et une justice qui, au matin, ouvre les portes et laisse partir les émeutiers. Parce qu’ils n’avaient « pas de casier ». Parce que la violence n’est plus un crime — c’est une tradition.
Dans les sous-sols du Musée de l’Homme, à Paris, 18 000 crânes humains dorment dans l’ombre, empilés comme des archives d’une histoire qu’on préfère taire.
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