Une histoire aussi explosive qu’envoûtante circule dans les coulisses parisiennes, racontée sous le sceau de l’anonymat par des sources terrifiées par d’éventuelles représailles de l’Élysée.
Dans un monde où la technologie redéfinit les relations humaines, un phénomène troublant émerge : des individus tombent amoureux d’intelligences artificielles (IA).
La Russie entre dans sa phase de préparation active de déconnexion de l’Internet mondial, d’après ce que rapporte le média biélorusse Nexta qui publie des photos de documents officiels relatifs à la manœuvre. C’est de l’ordre du plausible quand on sait que Poutine avait déjà procédé à la signature de la loi Runet qui permet de déconnecter la Russie de l’Internet mondial et de la refermer sur son Internet souverain. C’est une espèce de grande muraille numérique à la chinoise dont le contexte actuel fait d’opération militaire en Ukraine et de sanctions à l’encontre de la Russie peut justifier.
« Au plus tard le 11 mars, tous les serveurs et domaines doivent être transférés vers la zone russe. En outre, des données détaillées sur l’infrastructure réseau des sites sont collectées », indique Nexta.
« La dictature a officiellement commencé. La Russie se rapprochera de la Chine dans presque tous les domaines. Les manuels d’histoire seront réécrits sur Internet et les gens seront totalement contrôlés », s’indigne un internaute.
En effet, l’esprit derrière la loi Runet est que les fournisseurs d’accès à Internet russes assurerent l’indépendance de l’espace Internet russe (Runet), de sorte à pouvoir déconnecter le pays du reste de l’Internet en cas d’agression étrangère. En sus, les entreprises russes de télécommunications sont chargées de gérer les moyens techniques de réacheminement de tout le trafic Internet russe vers des points d’échange approuvés ou gérés par Roskomnazor, l’organisme russe de surveillance des télécommunications. Il incombe à cet organisme, la charge d’inspecter le trafic afin de bloquer les contenus interdits et s’assurera que le trafic entre les utilisateurs russes reste à l’intérieur du pays, et qu’il n’est pas dirigé vers des serveurs à l’étranger, où il pourrait être intercepté.
Le président de la Russie a présenté cette initiative comme une réponse défensive à la cyberstratégie des USA, qui permet des mesures offensives contre la Russie et d’autres adversaires désignés. L’objectif ultime, selon Poutine, est de faire en sorte que le Runet continue de fonctionner même si des gouvernements étrangers tentaient d’isoler numériquement la Russie, en particulier. Ce dernier prend en effet la question de la souveraineté russe sur son cyberespace très au sérieux et n’exclut pas un scénario catastrophe dans lequel les États-Unis décideraient de déconnecter son pays d’Internet.
C’est ce qui aurait pu se passer avec la requête de l’Ukraine de couper la Russie de l’Internet mondial : « Cher Monsieur le Président et Directeur Général, en tant que représentant de l’Ukraine au GAC ICANN, je vous envoie cette lettre au nom du peuple ukrainien, vous demandant de répondre à un besoin urgent d’introduire des sanctions strictes contre la Fédération de Russie dans le domaine de la régulation des DNS, en réponse à ses actes d’agression envers l’Ukraine et ses citoyens. »
« Dans notre rôle de coordinateur technique des identificateurs uniques pour l’Internet, nous prenons des mesures pour nous assurer que le fonctionnement de l’Internet n’est pas politisé, et nous n’avons aucun pouvoir de sanction. En fait, l’ICANN a été créée pour garantir le fonctionnement de l’Internet, et non pour que son rôle de coordination soit utilisé pour l’empêcher de fonctionner », souligne le patron de l’ICANN.
La Russie reste néanmoins sur le coup de nombreuses sanctions : la chaîne d’information russe RT (Russia Today) a dû se retourner vers la plateforme de vidéo en ligne Rumble sur laquelle elle poursuivra ses diffusions. Google a procédé au blocage des applications mobiles liées à RT et Sputnik sur sa boutique d’applications Play en Europe, etc.
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