La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Des chercheurs ont mené une enquête téléphonique auprès de 2.285 individus âgés de 18 ans et plus au Pays de Galles. Selon l’étude, il y aurait une corrélation entre les traumatismes dans l’enfance et le refus de respecter les mesures gouvernementales contre le Covid-19. On avait l’habitude de voir de l’empathie à propos des victimes d’abus. Mais en l’occurrence, il faut faire passer l’idée qu’il n’est pas normal de ne pas se faire vacciner. Et peu importe si les abîmés de la vie sont des victimes collatérales de la propagande officielle.
En effet, selon les enquêteurs, les personnes qui ont des expériences négatives durant l’enfance (ou en anglais, adverse childhood experiences ACE) (ACE) comme les abus psychologiques, physiques ou sexuels ainsi que celles qui ont été exposées à la violence domestique ou à la toxicomanie ont tendance à se méfier des informations sur la pandémie fournie par le National Health Service du Royaume-Uni.
Ils sont aussi susceptibles de ne pas respecter les mesures sanitaires comme la distanciation sociale ou le port de masque. Toujours selon cette étude galloise, les personnes qui ont vécu 4 ACE ou plus sont encore plus susceptibles de refuser la vaccination. Le message est clair: plus vous êtes dans une situation de grand traumatisme psychologique, plus vous avez un comportement anormal face au vaccin.
Selon les chercheurs, une personne sondée sur 10 se sent injustement limitée par les restrictions et cette sensation est beaucoup plus importante chez les personnes ayant subi un grand nombre d’ACE.
L’investissement dans la protection des enfants, une nécessité absolue
Selon les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), les enfants qui ont eu droit à des fessées ou autres formes de châtiment corporel, ceux qui ont eu une activité sexuelle précoce et ceux qui ne sont pas proches des personnes qui s’occupent d’eux sont susceptibles de subir les traumatismes. On est dans la grande confusion entre des victimes authentiques de traumatismes et l’éducation traditionnelle.
Les chercheurs qui ont mené cette étude estiment qu’il est nécessaire « d’investir dans une enfance sûre et sécurisée pour tous les enfants ». Le but est de protéger les petits contre les ACE. Avec une telle mesure, on peut « réduire les comportements néfastes pour la santé ». Mais quelle est la cohérence si après cela on fait l’apologie de la vaccination en présentant les récalcitrants comme des gens traumatisés.
Toutefois, pendant la pandémie, beaucoup d’enfants sont exposés à des expériences traumatisantes et la plupart d’entre eux n’ont accès à aucun soutien suite aux restrictions comme le confinement. Et si l’on retournait l’argument ? Est-ce que les chercheurs sont en train de nous dire que les politiques de vaccination relève d’un abus de masse?
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
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