Son ascension fulgurante cache un passé lié à l'industrie du sexe, des services érotiques du Minitel rose aux peep-shows parisiens, qui aurait déplu à son beau-père, Bernard Arnault, le patron de LVMH.
L’histoire de la famille Barriquès illustre parfaitement ce business juteux des faux en art. Pendant des années, ce clan a opéré en toute impunité, vendant des contrefaçons à des célébrités fortunés, de Paris à Saint-Tropez, pour un préjudice estimé à 2,6 millions touchant 113 victimes.
Dans un paysage intellectuel français souvent marqué par la morosité et les débats stériles, l'ouvrage Esthétique(s) du conspirationnisme de Mehdi Belhaj Kacem émerge comme une bouffée d'air frais – ou plutôt comme une tempête philosophique.
La mort des influenceurs remplacés par des IA est officielle
L'ère des influenceurs traditionnels touche à sa fin, et l'avènement des influenceurs artificiels (IA) marque un tournant décisif dans l'industrie du marketing.
Selon KBV Research, le marché des influenceurs IA devrait atteindre une valeur de 37,8 milliards de dollars d'ici 2030, signalant une transformation profonde de la manière dont les marques interagissent avec leur public. Cette projection ne fait pas que prédire un changement ; elle annonce la mort officielle des influenceurs humains tels que nous les connaissons.
Influencers are dead 💀
This AI just made a viral video from my product photo.
Malgré une rémunération moyenne encore 46 fois supérieure pour les influenceurs humains, l'écart se réduit rapidement avec l'amélioration des technologies IA. Cette tendance soulève des questions cruciales sur la durabilité à long terme du marketing d'influence dominé par les humains. Les marques, de plus en plus attirées par la précision, la scalabilité et la rentabilité offertes par les IA, commencent à réévaluer leur dépendance aux influenceurs traditionnels.
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