La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Paul McCartney n’a jamais eu la folie des grandeurs.Pour son dernier clip, Queenie Eye, il s’est pourtant offert le luxe d’un casting impressionnant. Johnny Depp, Kate Moss, Meryl Streep, jude Law, sa fille Stella et pleins d’autres. Alors on imagine tout de suite un clip ultra moderne ou toutes ces jolies stars sont mises en avant avec une technique de folie. Mais non, on découvre simplement Paul au piano, dans un studio se remplissant de stars au gré du morceau. Mais attention pas n’importe quel studio, le mythique studio d’Abbey Road, où il a convié qui voulait venir de ses amis à participer au clip. La petite chansonnette se met à séduire ces messieurs dames qui se mettent à danser jusqu’à ce que le studio soit plein à craquer de vip se déchainant sur les notes toujours aussi entrainantes d’un McCartney vieillissant mais toujours aussi performant. L’idée est simple, mais seul l’ancien Beatles peut se permettre de tourner un tel clip ne sachant même pas qui sera présent le jour J. Imaginons un instant vouloir faire la même chose pour un de nos potes qui fait de la musique…ce serait tragique. Mais McCartney, toujours aussi humble, s’offre une fin à son image où on le voit terminer seul, éteindre la lumière de ce lieu où les plus grands albums de tout les temps ont été enregistrés.Une façon de nous dire que la célébrité est éphémère ?
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.