Dans une enquête choc qui ébranle les fondations d'Israël, le Shin Bet accuse Benjamin Netanyahu d'avoir financé et renforcé le Hamas, potentiellement autorisant l'attaque du 7 octobre 2023 comme un "false flag" pour consolider son pouvoir.
En ce début d’automne 2025, alors que les feuilles commencent à jaunir en Occident, un vent de changement souffle avec force depuis l’Orient. Je suis Mary Josephson, et depuis des années, j’observe les plaques tectoniques de la géopolitique mondiale se déplacer sous nos pieds.
Imaginez : 511 milliards de barils de pétrole, un océan noir sous la blancheur immaculée, équivalent à dix fois la production totale de la mer du Nord sur un demi-siècle.
Imaginez un film écrit au XXIème siècle par Fellini et Visconti mettant en scène un écrivain mondain. Qu’est-ce que cela pourrait donner ? « Stefania, tu travailles toute la semaine à la télé, tu sors tous les soirs. Tes enfants ne te voient jamais, même pas pendant tes longues vacances. Tu as, pour être précis, un majordome, un domestique, un cuisinier, un chauffeur qui accompagne tes enfants à l’école, plus trois baby-sitters… Tu as 53 ans et une vie dévastée, comme nous tous. Alors, au lieu de nous faire la morale et de nous regarder avec mépris, tu devrais le faire avec affection. Nous sommes tous au bord du gouffre. Notre seul remède est de nous tenir compagnie et de rire un peu de nous. Non ? » Ce dialogue en réalité est signé par le réalisateur Paolo Sorrentino dans « La Grande Bellezza ». Film aussi glaçant qu’exaltant. Un choc esthétique rare. Qui donne à la fois l’envie de retourner dans les musées et de commencer un nouveau roman. Paolo Sorrentino donne l’envie de sortir de soi pour apprendre à se rencontrer enfin. Pour y parvenir, il prend le meilleur de Proust, de Céline, de Breton, de Flaubert. C’est son voyage à la recherche du temps perdu. Sous couvert de mélancolie, il fabrique une Italie post-berlusconienne en fin de vie. Hédoniste et donc dénué de sens. Avec en fond, une nostalgie passéiste empêchant de laisser couler un présent trop pesant. Paolo Sorrentino que beaucoup pensent en poseur, impose un rythme schizophrénique. Un coup profond, un coup futile. Un coup jouissif, un coup abstinent. Bref, il sait jouer avec son spectateur. En bon esthète, qui malgré ce que peuvent en dire ses détracteurs, fulmine déjà parmi les grands. Qui sont les grands ? Ceux que l’on regarde la tête haute.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Avec le film Nikita (1990) Luc Besson mettait en scène une jeune femme multi-traumatisée récupérée et programmée par les services pour faire d'elle un agent ultra performant...
En mai 2025, le Festival de Cannes a dévoilé The Phoenician Scheme, le dernier opus de Wes Anderson, un cinéaste dont le style visuel inimitable et les récits excentriques ont redéfini le cinéma d’auteur contemporain.
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