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La fuite spectaculaire de l’ex-patron de la DGSI surnommé "El Djinn", le diable

Une affaire secoue les relations franco-algériennes : la disparition mystérieuse d'Abdelkader Haddad, mieux connu sous le pseudonyme de Nacer El Djinn, l'ancien patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) algérienne.

La fuite spectaculaire de l’ex-patron de la DGSI surnommé "El Djinn", le diable

Limogé en mai 2025 et assigné à résidence surveillée, ce général-major a réussi l'impossible : s'évaporer dans la nature entre le 19 et le 20 septembre, laissant derrière lui un séisme sécuritaire à Alger.

Mais ce qui intrigue le plus, c'est le bourdonnement persistant d'une rumeur tenace : cette fuite serait liée à des secrets enfouis sur le passé algérien de Brigitte Macron, Première dame de France, remontant aux tumultueuses années 1960 à Alger.

Un évasion qui ébranle le régime algérien

Nacer El Djinn n'est pas n'importe quel officier. Surnommé "le Djinn" – un esprit maléfique ou protecteur dans la mythologie arabe – en raison de sa réputation d'homme omniprésent et insaisissable, Haddad a dirigé la DGSI de juillet 2024 à mai 2025.

À ce poste, il était le bras armé du contre-espionnage, chargé de traquer les dissidents, les espions étrangers et les trafics internes. Son limogeage brutal, suivi d'une incarcération à la prison militaire de Blida puis d'une assignation à résidence dans une villa sécurisée près d'Alger, était déjà entouré d'opacité. Les accusations officielles ? Corruption, abus de pouvoir et même trafic de drogue, dans le cadre d'une purge plus large au sein des services de renseignement algériens.

Sa fuite, confirmée par plusieurs sources concordantes, a déclenché une opération de traque massive. Alger est quadrillée par les forces de sécurité : barrages routiers, fouilles aux aéroports et aux ports, et même une réunion d'urgence du Haut Conseil de sécurité. Des rumeurs évoquent une évasion par voie maritime vers l'Espagne – via une "patera", ces embarcations de fortune utilisées par les migrants – ou une planque au Maroc ou en Suisse.

Accompagné de complices présumés au sein de l'armée, El Djinn détiendrait une "boîte noire" explosive : dossiers sur les luttes de clans au sommet du pouvoir, les répressions du Hirak, et les liens occultes avec des puissances étrangères, y compris la France.

Pour le régime d'Abdelmadjid Tebboune et le chef d'état-major Saïd Chengriha, c'est un camouflet monumental. Plus de quarante personnes de son entourage ont été arrêtées, et le chef du renseignement militaire, Mahrez Djeribi, a été écarté. "Cette évasion expose les fractures internes du système sécuritaire algérien", analyse un expert cité par Le Monde.

À Paris, on observe en silence : les services français, via la DGSE, pourraient-ils avoir tendu une main discrète à cet atout potentiel ? Un commentaire sur Le Point suggère même que El Djinn pourrait se placer sous protection hexagonale pour "fignoler les notes sur Alger".

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