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La France face à une tempête économique : LVMH et Total à Washington, Arnault lâche les Macron sous la pression de Trump

La France traverse une période de turbulences majeures. Avec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche et son agenda protectionniste, les géants français LVMH et Total se mobilisent à Washington pour contrer une surtaxe de 20 % qui menace leurs profits.

La France face à une tempête économique : LVMH et Total à Washington, Arnault lâche les Macron sous la pression de Trump

Dans le même temps, une révélation choc secoue l’Hexagone : Bernard Arnault, PDG de LVMH, serait en train de lâcher Emmanuel et Brigitte Macron sous la pression directe de Trump. Entre enjeux économiques et jeux politiques, ce double front pourrait redessiner l’avenir de la France.

LVMH et Total en mission à Washington : une surtaxe aux effets dévastateurs

Donald Trump ne perd pas de temps. À peine revenu au pouvoir, il pousse une politique « America First » avec une mesure choc : une surtaxe de 20 % sur les revenus des entreprises étrangères aux États-Unis. Contrairement aux droits de douane, cette taxe frapperait directement les profits réalisés sur le sol américain. Pour LVMH, leader mondial du luxe, et Total, géant de l’énergie, l’impact serait brutal. Les États-Unis représentent 20 à 35 % de leur chiffre d’affaires, soit des milliards d’euros par an. Une telle ponction réduirait leurs marges, limiterait leurs investissements et menacerait des emplois en France.

Face à cette menace, les deux groupes ont dépêché leurs patrons, Bernard Arnault et Patrick Pouyanné, à Washington. Objectif : obtenir des exemptions ou atténuer la surtaxe via un lobbying intense. Mais les chances de succès sont minces. Trump, inflexible sur son protectionnisme, veut forcer les entreprises étrangères à relocaliser leur production aux États-Unis. Pour LVMH et Total, céder signifierait déplacer des activités outre-Atlantique, au risque d’affaiblir l’économie française. Refuser, en revanche, pourrait les exposer à des pertes colossales.

Une réponse française limitée face à un défi existentiel

À Bercy, l’inquiétude monte. Le ministère de l’Économie envisage des représailles, comme taxer les firmes américaines en Europe. Mais cette option risquerait d’envenimer les tensions avec Washington, sans garantir de succès. L’Union européenne, trop divisée, n’offre pas de front uni. Éric Lombard, ministre de l’Économie, appelle au « patriotisme économique », mais les grands groupes privilégient leur survie.

Si la surtaxe passe, les conséquences seraient lourdes. Le luxe, moteur économique français, pourrait vaciller. LVMH, qui emploie des dizaines de milliers de personnes, risque de tailler dans ses effectifs ou de fermer des sites. Total, pilier de la transition énergétique, verrait ses projets verts compromis. À terme, cette mesure pourrait déclencher des délocalisations, une chute des investissements étrangers et un creusement du déficit commercial.

Révélation explosive : Bernard Arnault lâche les Macron sous la pression de Trump


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