La France au bord d'une crise économique inédite
En ce 28 août 2025, la France vacille au bord d'un précipice économique inédit, une crise qui surgira comme un ouragan imprévu, balayant des décennies de certitudes.
En ce 28 août 2025, la France vacille au bord d'un précipice économique inédit, une crise qui surgira comme un ouragan imprévu, balayant des décennies de certitudes.
Tandis que le gouvernement Bayrou chancelle, avec 89 % de chances de chuter lors du vote de confiance du 8 septembre selon les plateformes de paris en ligne, les ombres d'une intervention du FMI se profilent.
Washington pourrait alors imposer son emprise totale, révélant aux yeux de Trump et des Français l'overdose d'une dépendance américaine depuis 1945, qui a érodé notre souveraineté économique. Pourtant, de cette apocalypse naîtra peut-être un phénix : une nation régénérée, prête à reconquérir son destin.
La probabilité d'une chute imminente du gouvernement Bayrou est alarmante : 89 % sur les plateformes de paris en ligne, et Polymarket estime même à 83 % la chance qu'il soit évincé avant fin septembre.
Si cela se produit, Emmanuel Macron pourrait dissoudre l'Assemblée nationale, ouvrant la voie à de nouvelles élections législatives d'ici fin 2025.
Mais ce n'est que le début d'une cascade de conséquences. Une crise politique prolongée risque de propulser les partis extrêmes, comme le Rassemblement national, vers une majorité absolue, redessinant le paysage politique dans un chaos fertile pour les extrêmes.
Sur le front économique, les signaux sont rouge sang. La dette publique dépasse déjà 114 % du PIB, et les coûts d'emprunt français ont surpassé ceux de la Grèce depuis le 12 août, témoignant d'une méfiance accrue des investisseurs internationaux.
Le ministre de l'Économie, Éric Lombard, a sonné l'alarme : sans réformes, une intervention du FMI est inévitable.
Les marchés anticipent un déficit stable à 5,6 % du PIB en 2025 si rien n'est fait, aggravant une spirale de la dette qui pourrait exploser à 120 % du PIB d'ici 2026. L'écart de taux d'intérêt avec l'Allemagne pourrait s'élargir à plus d'un point, rendant les emprunts encore plus prohibitifs.
En cas de bailout, le FMI, ancré à Washington, imposerait une austérité draconienne, comparable à celle infligée à la Grèce en 2010 : réformes des retraites, coupes budgétaires de 50 milliards d'euros annuels, et des réformes structurelles dictées de l'extérieur.
Cette tutelle menacerait la souveraineté budgétaire française, avec des répercussions sur l'ensemble de la zone euro, évoquant les tourments italiens passés.
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