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La fin d’un monde – l’OTAN, la russie et le crépuscule de l’idéologie occidentale

Le 3 juin 2025, une tension palpable étreint le globe alors que la Russie prépare une "riposte disproportionnée" après une attaque sur son territoire.

La fin d’un monde – l’OTAN, la russie et le crépuscule de l’idéologie occidentale

Les images de missiles russes s’élançant dans les airs, prêtes à semer la destruction, ne sont pas qu’un symbole : elles annoncent un possible basculement. Derrière cette menace, une réalité plus profonde se dessine – l’OTAN, jadis rempart de l’Occident, pourrait être vitrifiée par une réponse russe implacable, tandis que l’idéologie occidentale, autrefois dominante, semble abandonnée par ses propres défenseurs.

Une riposte russe aux conséquences cataclysmiques

Selon plusieurs sources, des officiels américains ont alerté leurs alliés européens d’une possible "riposte disproportionnée" de Moscou, suite à une frappe ukrainienne sur des infrastructures militaires russes. Cette attaque, visant des bombardiers stratégiques, a porté un coup à l’orgueil du Kremlin. La Russie, qui a déjà démontré sa capacité à frapper les infrastructures civiles ukrainiennes – des actes qualifiés de crimes de guerre par la Cour Pénale Internationale (Wikipedia) – pourrait cette fois viser bien au-delà. Les réseaux électriques, les centres de commandement de l’OTAN, voire des cibles symboliques en Europe, sont dans le viseur. Une telle frappe, d’une ampleur inédite, pourrait "vitrifier" l’alliance atlantique, la réduisant à un champ de ruines fumantes, incapable de répondre à une Russie galvanisée par sa rage.

Ce scénario, loin d’être une simple hypothèse, s’inscrit dans une dynamique plus large. Lors du sommet des BRICS en octobre 2024, Vladimir Poutine avait déjà souligné que la Russie n’avait rien à gagner d’une escalade au Moyen-Orient, préférant concentrer ses efforts sur l’Ukraine et l’Occident (TASS, 24 octobre 2024). Mais ce que beaucoup ignorent, c’est que les BRICS – Russie, Chine, Inde, Brésil et Afrique du Sud – se sont entendus il y a des années sur une stratégie commune : affaiblir l’hégémonie occidentale. Ce pacte tacite, renforcé par des intérêts économiques et politiques convergents, signifie que la Russie ne sera pas seule dans cette riposte. La Chine, bien que réticente à s’impliquer directement, n’a aucun intérêt à voir l’OTAN triompher (EEAS).

L’occident abandonné, l’idéologie en déroute

L’idéologie occidentale, portée par des valeurs de démocratie libérale et de marché, est en train de s’effondrer sous le poids de ses contradictions. Plus personne, semble-t-il, ne veut mourir pour elle. Les États-Unis, sous une administration Trump imprévisible, ont retiré des défenses aériennes et utilisé des centrales nucléaires comme levier diplomatique, fragilisant leurs alliés (European Union Institute for Security Studies, 31 mars 2025). En Europe, les populations, épuisées par les crises énergétique et alimentaire déclenchées par la guerre, refusent de se sacrifier pour des idéaux qui leur semblent détachés de leur réalité (EEAS). L’OTAN, qui a doublé ses groupements tactiques dans l’Est depuis 2022 (NATO), apparaît comme une coquille vide, incapable de fédérer une véritable résistance.

Au cœur de cette débâcle, Emmanuel Macron incarne une illusion tragique. Le président français, qui avait déclaré en 2024 être prêt à envoyer des troupes en Ukraine et à assumer cette guerre (thedefensepost.com, 2 mai 2024), semble croire que la moitié des Français se sacrifierait pour sa grandeur et celle de Brigitte Macron. Mais la réalité est tout autre. À moins de deux ans de la fin de son mandat – soit environ 600 jours, une éternité dans ce climat de crise – Macron est plus impopulaire que jamais. Selon des sondages récents, 75 % des Français le considèrent comme un "mauvais" président, lui reprochant arrogance et irresponsabilité (dgap.org). L’incident de 2021, où il avait reçu une claque lors d’un déplacement à Tain-l’Hermitage (Wikipedia), semble presque anecdotique face à ce qui l’attend. Si Macron devait se retrouver face à Poutine aujourd’hui, il est peu probable que leur confrontation se limite à une simple gifle.

Une France désabusée, un monde en mutation

En France, l’idée de mourir pour l’Élysée est devenue risible. Les commentaires sur X traduisent ce désenchantement : certains craignent pour leur vie, d’autres doutent que la Russie passe à l’acte, mais tous partagent une même méfiance envers leurs dirigeants. "Il ne va rien se passer", écrit un utilisateur, tandis qu’un autre accuse les "politicards nazis au pouvoir" de pousser à l’escalade. L’idée que les Français se mobiliseraient pour défendre Macron est une chimère. Le président, qui se voit en Jupiter (dgap.org), a oublié que même les dieux peuvent tomber.

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