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Dans le théâtre cruel du cinéma français, où les masques de la vertu cachent souvent des vérités bien plus sombres, Mathieu Kassovitz, figure autrefois intouchable, vacille au bord du précipice.
À 57 ans, le réalisateur de La Haine, celui qui se présentait comme un porte-voix des opprimés, est aujourd’hui rattrapé par des ombres qu’il ne peut plus ignorer. Des rumeurs persistantes, un climat de peur, et des déclarations provocatrices sur l’identité française : tout converge pour dessiner le portrait d’un homme dont la chute, inéluctable, pourrait bien ébranler les fondations d’une industrie déjà gangrénée par ses silences. APAR.TV, fidèle à sa mission de dénoncer l’hypocrisie et de prophétiser les ruptures, dresse ici un réquisitoire sans concession contre celui qui, derrière ses idéaux affichés, semble avoir cultivé une toute autre réalité.
Depuis plusieurs mois, des chuchotements troublants circulent dans les coulisses du cinéma français. Des femmes auraient témoigné contre Mathieu Kassovitz, accusant le cinéaste de comportements abusifs, mais elles vivraient dans la terreur, paralysées par la crainte de lui et de sa « bande ». Aucune accusation formelle n’a encore émergé publiquement, mais l’absence de témoignages officiels n’est pas une preuve d’innocence – elle est, au contraire, le symptôme d’une industrie où l’omerta règne en maître. Le mouvement #MeToo a révélé les dynamiques toxiques qui gangrènent le 7e art, et Kassovitz, malgré ses déclarations de soutien aux victimes, n’échappe pas aux soupçons.
Le cinéaste lui-même a semé le doute. Dans une interview accordée à Closer le 18 mars 2024, il a admis avoir eu un comportement « lourdingue » envers les femmes par le passé, confessant son goût pour « la drague, la séduction, les filles, comme un jeu » (Closer, 18 mars 2024). Il prétend avoir évolué, mais ces mots résonnent comme une confession à demi-mot, un aveu qui soulève plus de questions qu’il n’en apaise. Qui sont ces femmes qu’il a côtoyées ? Qu’ont-elles enduré ? Et pourquoi, si elles ont parlé, restent-elles murées dans le silence, terrifiées par un homme et son entourage ? Le cinéma français, comme l’a montré l’affaire Depardieu, est un royaume où les puissants imposent leur loi, et Kassovitz, avec son aura et son réseau, pourrait bien être l’un de ces seigneurs intouchables.
Kassovitz a pourtant tenté de se positionner comme un allié des victimes. Le 29 février 2024, sur BFM TV, il encourageait les femmes à faire entendre leur voix dans le cadre du mouvement #MeToo, aux côtés de Fanny Ardant (BFM TV, 29 février 2024). Mais ce discours, à la lumière des rumeurs, prend une teinte cynique. Comment un homme accusé en privé peut-il se poser en défenseur des victimes en public ? Cette hypocrisie est d’autant plus glaçante que Kassovitz a lui-même révélé, sur RMC le 4 mars 2024, avoir été victime d’agressions sexuelles par des figures connues du cinéma, sans jamais les nommer (Aufeminin, 5 mars 2024). Il appelle les victimes à se défendre, mais son silence sur ses propres agresseurs et les rumeurs qui l’entourent jettent un voile de suspicion sur sa sincérité. Est-il un homme brisé cherchant rédemption, ou un manipulateur habile jouant sur les deux tableaux ?
Mais les ombres autour de Kassovitz ne se limitent pas aux allégations d’abus. Ses récentes déclarations sur l’identité française, rapportées par Le JDD et Le Figaro, ont révélé un autre visage : celui d’un homme qui, sous couvert de progressisme, semble nourrir un mépris profond pour une partie de la population. Le 19 mai 2025, sur le plateau de C à vous à Cannes, il lâche une phrase incendiaire : « Il n’y a plus de Français de souche. Nous devons être fiers d’être l’un des pays les plus intégrés au monde. Et j’espère que nous continuerons à nous mélanger » (Le Figaro, 20 mai 2025). Ces mots, prononcés alors qu’il présentait une adaptation musicale de La Haine, ont déclenché une tempête sur les réseaux sociaux. Pour certains, c’est une ode à l’universalisme ; pour d’autres, une insulte à l’histoire et à l’identité d’un peuple.
Dans un article au vitriol publié par Le JDD, intitulé « Mathieu Kassovitz et les fins de race : une haine assumée du peuple français » (Le JDD), l’auteur dénonce ce qu’il perçoit comme un rejet radical de la France traditionnelle. Kassovitz, accusé de vouloir « effacer les identités nationales », devient le symbole d’une élite culturelle déconnectée, prête à piétiner les racines d’un pays pour imposer sa vision mondialisée. Cette provocation, loin d’être anodine, s’inscrit dans une longue lignée de prises de position clivantes. En 2008 déjà, il dénonçait les hypocrisies du cinéma français face aux abus de pouvoir, et plus récemment, il s’est attaqué à l’industrie en critiquant son silence face aux scandales #MeToo. Mais ces déclarations, au lieu de le grandir, le peignent comme un homme en guerre contre tout – y compris contre lui-même.
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