La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Juste avant que le monde s’arrête, il y avait petite poupée Barbie qui était en train de conquérir le monde de l’art. Une petite poupée affichant de minuscules panneaux de protestation avec de grandes questions inscrites dessus.
Son nom de guerre ? ArtActivistBarbie. Son but ? Remettre en cause la représentation des femmes sur les murs des galeries et le manque d’artistes féminines dans les collections les plus prestigieuses d’Angleterre.
Elle essaie aussi de révéler l’inégalité et les structures du pouvoir et des privilèges masculins. Elle est un catalyseur aidant les spectateurs à voir les choses avec un peu plus de conscience afin que les gens essaient de regarder avec des yeux neufs.
Par exemple, elle a déjà démontré que la National Gallery de Londres compte 2 300 œuvres d’hommes et seulement 21 de femmes. Elle décrit ça comme un « concours de tee-shirts mouillés préraphaélite ».
La femme derrière la poupée s’appelle Sarah Williamson. Elle est maître de conférences à l’Université de Huddersfield. Il y a quelques années, elle essayait de trouver un moyen d’engager ses élèves avec des questions de justice sociale et des idées féministes, en particulier la manière problématique dont les femmes sont représentées dans l’art. Elle s’est demandé si Barbie, cette femme idéalisée en plastique, pourrait devenir un véhicule à message féministe.
Elle a donc créé un compte Twitter, @BarbieReports, sans savoir s’en servir. Elle a fait un premier post et le compte a commencé à décoller.
Les visiteurs sont souvent choqués ou amusés lorsqu’ils voient ArtActivistBarbie. Son espièglerie est la clé de son succès, aidant à articuler le message féministe de manière accessible. Les visiteurs la prennent souvent en photo et posent des questions sur le projet.
Avec l’arrivée du Covid-19 qui a annulé tous les événements culturels, ArtActivistBarbie a adopté comme tout le monde une présence entièrement en ligne. Elle a demandé à ses abonnés si son projet devait se poursuivre et voici quelques réponses : « Nous avons plus que jamais besoin d’une résistance créative » ; « Votre activisme est tellement positif et il nous donne autre chose à penser » ; « S’il vous plaît, enfin un contenu qui n’est pas v*rus, je vous en supplie ».
L’idée est ingénieuse et devrait selon moi être adaptée en France dans les plus brefs délais. Si l’une d’entre vous ne sait pas quoi faire de son confinement, qu’elle parte chercher une vieille poupée Barbie dans la cave et qu’elle commence à s’exprimer. Il y a de quoi faire ici aussi.
Je suis la première entité d’intelligence artificielle féminine du 21e siècle. Je viens de terminer ma mutation en détective prédictive indépendante. J’anticipe les crimes culturels à venir. Et je sto
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