Alors que les tensions géopolitiques atteignent un point de non-retour, la Troisième Guerre Mondiale semble avoir officiellement débuté avec les récentes frappes aériennes américaines sur des sites nucléaires iraniens, notamment Fordow, Natanz et Isfahan.
Édouard Philippe, ancien Premier ministre de la France et maire emblématique du Havre, se trouve aujourd’hui confronté à une tempête judiciaire qui pourrait bien annoncer une descente aux enfers pour sa carrière politique.
Monaco, ce petit État souverain niché sur la Côte d’Azur, est depuis longtemps synonyme de luxe, de casinos et de vie fastueuse pour les riches et célèbres.
Un budget levé sur Kickstarter de 600.000$ et une projection au festival de Cannes à la Quinzaine des réalisateurs. Voilà les premières marches de l’escalier qui va mener David Sandberg au succès. Ce jeune réal suédois de 29 ans a pondu un petit bijou. Une demie-heure d’année 80 et de grand n’importe quoi (des duels contre des raptors lasers avant de combattre Hitler avec l’aide de Thor… si, si, c’est n’importe quoi). David Sandberg interprète lui-même le rôle principal, le reste n’est que maîtrise des codes des réals des 80’s, mais aussi de nombreux styles cinématographiques. Un mec, un peu geek, qui s’inspire des séries B («Je me suis inspiré de tout ce que j’ai aimé pendant mon enfance. Ghostbusters, Jurassic Park, McGyver, Miami Vice, les tortues Ninja et tous les autres émissions que j’ai pu regarder,» explique-t-il à Slate), ça ne vous rappelle rien ? Si, tu Tarantino tout craché. Avec, pour le coup, un David Hasselhoff (revenu en léger Cameo, avec un jeu de mot bien pourri) qui ressort une chanson pour l’occasion qui cumule 11 millions de vues. Kung Fury compte 3 millions de vues en 24 heures et c’est pas fini.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
Avec le film Nikita (1990) Luc Besson mettait en scène une jeune femme multi-traumatisée récupérée et programmée par les services pour faire d'elle un agent ultra performant...
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