Paris, mai 2027 – Les lumières crues des plateaux de TF1 et France 2 illuminent un face-à-face historique. Dans ce débat du second tour de l’élection présidentielle, Juan Branco, l’avocat-militant de 38 ans, affronte Dominique de Villepin, l’ancien Premier ministre de 74 ans.
La lecture est-elle en train de disparaître dans notre pays ? Les chiffres récents du Centre national du livre (CNL), publiés le 8 avril 2025 dans la sixième édition de son baromètre bisannuel « Les Français et la lecture » (Les Français et la lecture en 2025), révèlent une tendance inquiétante.
Imaginez un instant que nous soyons le 25 mai 2025. L’intelligence artificielle (IA) ne se contente plus d’être un outil périphérique : elle s’invite au cœur même de la santé mentale, redessinant les contours du métier de psychologue.
En dépouillant nos boites mails, parfois on tombe sur une merveille. On remercie alors, d’ores et déjà, le jeune réalisateur Kevin Frilet de nous avoir écrit qu’il voulait nous présenter ici son film Under qui est sa première réalisation. Pour reprendre ses mots : « C’est un film « visuel » avec une construction narrative mais c’est avant tout un film métaphorique. » Sous l’eau évidemment comme son titre l’indique. D’une maitrise hallucinante pour un premier film. En même temps Kevin Frilet a su apprendre avec les meilleurs, il a été assistant réalisateur sur des longs-métrages comme Inception, Lucy et bientôt sur Taken 3. Autant donc, tout de suite, immortaliser notre avis noir sur blanc, Kevin Frilet est un réalisateur en devenir, il faut lui proposer de tourner son premier clip vite, très vite.
Pour le reste nous avons laissé le soin au réalisateur d’expliquer sa démarche et ses intentions : « Je suis un jeune réalisateur, né à Paris et le film Under est ma première réalisation. J’ai travaillé pendant près de 10 ans dans le cinéma comme assistant réalisateur. Je viens de finir, en tant que réalisateur 2nd équipe, le tournage des épisodes 1&2 de la nouvelle série Canal+ « Versailles » réalisée par Jalil Lespert. Under m’a demandé beaucoup de préparation. Tourner un film sous l’eau n’est pas aussi simple que de tourner un film « classique ». Cela demande beaucoup de travail en amont et de répétitions in situ. Contrôler sa respiration, maîtriser ses déplacements dans de telles conditions n’est pas chose facile, surtout pour des acteurs non professionnels (seul l’homme est acteur) qui n’ont jamais tourné sous l’eau. Avec Human Films, toute jeune maison de production, nous avions des intentions très hautes mais un budget assez réduit. L’équilibre était périlleux. Nous avons tourné le film en une nuit dans une fosse à plongeon de la région parisienne. Ce fût une nuit épique dont beaucoup je pense se rappelleront. Under est un film « visuel » avec une construction narrative mais c’est avant tout un film métaphorique. «Il me semble que je me retrouve et me reconnaisse quand je reviens à cette eau universelle ». Je pense que cette phrase, extraite du court texte « Nage » du poète français Paul Valéry, fut inconsciemment le point de départ de Under. L’eau comme lieu de nouvelle naissance et de tous les possibles mais aussi comme première matrice qui enfante dans ses eaux. J’avais envie de créer un univers liquide, où le temps est suspendu, l’espace infini et la profondeur inconnue. La matière eau comme lumière liquide. La volonté était ici de tourner un film entièrement sous marin, sans aucun plan tourné « à l’extérieur ». Le lien entre la naissance et le liquide, entre la vie et l’eau est un lien fort, quasi intrinsèque. Associer donc cette idée de naissance à une matière mais aussi à un corps, celui d’une femme nue, qui va prendre possession de cet univers, dont les profondeurs l’appellent, l’attirent vers l’abîme et finalement la rendent à la vie. Reprenant l’image biblique de la Genèse des eaux d’en haut et des eaux d’en bas, cette créature spirituelle quitte la surface du monde des « mortels » pour se déployer au milieu de ce vaste ciel liquide avant de s’émanciper vers une lumière divine provenant d’en bas. Un nouveau monde. Entre ces deux mondes, là où la lumière peine à éclairer les profondeurs, un homme apparaît sortant de l’obscurité. « Le corps de l’eau ». Il symbolise la limite de ces deux mondes. Evoquant la vie, la mort et la réincarnation, ce « corps à corps » animal et sensuel laisse entrevoir une certaine harmonie mais cet équilibre est rompu car ces deux créatures ne peuvent fusionner. Il appartient au monde des ombres, elle au monde de la lumière. Le choix du noir et blanc s’est imposé tout de suite. Je voulais créer un univers infini, voir invisible, un peu comme ce désert blanc dans « THX 1138 » dont on ne distingue aucune frontière, aucune profondeur de champ. Je voulais des contrastes et des ombres sur les corps. Le travail photographique de Trent Parke fut une réelle source d’inspiration. L’idée était d’utiliser uniquement une source lumineuse à l’extérieur de l’eau, à la surface, telle une lumière divine. Le film étant non sonore, le choix de la musique était déterminant. La musique devait s’adapter au mouvement de l’image, épouser le rythme des corps. Je voulais accentuer ce sentiment de vide et de légerté où ces corps planent comme en apesanteur. Un son qui puisse exprimer un long vertige d’où résonne parfois un écho avec le néant. Valentin Stip a composé la bande sonore du film. Je connaissais ses compositions et j’ai notamment été très sensible à son dernier album « Sigh » (label Other People) qui fut aussi une importante source d’inspiration pour le film… »
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