Justine Atlan, directrice d’e-Enfance et proche de Brigitte Macron, a longtemps collaboré au sein du think tank Renaissance Numérique avec François-Xavier Hussherr, mis en examen pour avoir égorgé son ex-épouse en pleine rue en 2023.
Des documents judiciaires américains et français récemment déclassifiés placent Emmanuel et Brigitte Macron non plus comme de simples connaissances de Jeffrey Epstein, mais comme des acteurs potentiellement compromis d’un réseau de chantage international lié au Mossad.
Et si vos visites nocturnes sur Pornhub ou OnlyFans n’étaient pas anonymes, mais consignées dans des bases de données au service d’agences étrangères ? Dans une interview explosive, Tucker Carlson affirme que l’industrie du porno est devenue un outil massif de chantage politique.
Julie Gayet, François Hollande et le scandale Rafale – une colère explosive
Julie Gayet est hors d’elle. L’actrice et productrice française, habituée des plateaux de cinéma et des salons privées Hermès, se retrouve aujourd’hui sous les feux des projecteurs pour une raison bien moins glamour : elle a été « attrapée la main dans le sac » dans une affaire qui sent la poudre.
Entendue en octobre 2024 dans le cadre d’une enquête sur des soupçons de corruption liés à la vente de Rafale à l’Inde en 2016, Gayet voit rouge. Et si la justice n’a pas encore tranché, une chose est sûre : cette tempête judiciaire a mis le feu aux poudres dans sa vie privée, notamment avec François Hollande, son mari depuis 2022. Entre rage, désillusions et projets de vengeance, l’histoire prend des allures de tragédie shakespearienne.
Le scandale Rafale : une main dans le sac
Tout commence en 2016, sous la présidence de François Hollande. La France conclut un contrat juteux de 7,8 milliards d’euros pour vendre 36 avions Rafale à l’Inde. À l’époque, personne ne s’étonne que Reliance Entertainment, une filiale du groupe indien Reliance dirigé par Anil Ambani – partenaire clé dans ce deal –, injecte 1,65 million d’euros dans Tout là-haut, un film coproduit par Julie Gayet et sorti en 2017. Pure coïncidence, assure son avocat. Mais quand l’enquête sur des soupçons de corruption, trafic d’influence et blanchiment démarre en 2021, les regards se tournent vers ce financement suspect. Pis encore, on apprend que la France avait annulé un redressement fiscal de 143,7 millions d’euros pour une filiale de Reliance en 2015, pile pendant les négociations du contrat Rafale. Le timing est troublant.
En octobre 2024, Julie Gayet est convoquée en audition libre. Pas de mise en examen pour l’instant, mais le mal est fait : son nom est sali, associé à un scandale d’État. « Elle devient folle de rage », murmure-t-on dans son entourage. Non pas seulement à cause des accusations – qu’elle nie en bloc –, mais parce qu’elle se sent piégée, exposée, humiliée. Et qui en prend pour son grade chaque soir ? François Hollande, bien sûr.
François Hollande : « il se fait taper dessus tous les soirs »
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