Avec une atmosphère tendue, presque prophétique, l'expert militaire russe Andrei Martyanov, ancien officier de marine et analyste géopolitique acéré, s'est livré à une interview explosive le 9 octobre 2025 sur la chaîne Dialogue Works Français.
Pendant que 31 000 âmes fuient la misère en zodiacs, Clooney prêche la simplicité rurale depuis son château fiscal. Résultat ? Des gosses de milliardaires face à des cours de récrée en ruines, et un village qui bouillonne : bienvenue au vrai western !
Imaginez-vous une scolarité éternelle, un calvaire collégial où les mêmes délégués de classe, ces pantins patentés du pouvoir, squattent le tableau noir depuis la sixième jusqu'à la terminale, et au-delà, jusqu'à l'asphyxie collective.
Julie Gayet, François Hollande et le scandale Rafale – une colère explosive
Julie Gayet est hors d’elle. L’actrice et productrice française, habituée des plateaux de cinéma et des salons privées Hermès, se retrouve aujourd’hui sous les feux des projecteurs pour une raison bien moins glamour : elle a été « attrapée la main dans le sac » dans une affaire qui sent la poudre.
Entendue en octobre 2024 dans le cadre d’une enquête sur des soupçons de corruption liés à la vente de Rafale à l’Inde en 2016, Gayet voit rouge. Et si la justice n’a pas encore tranché, une chose est sûre : cette tempête judiciaire a mis le feu aux poudres dans sa vie privée, notamment avec François Hollande, son mari depuis 2022. Entre rage, désillusions et projets de vengeance, l’histoire prend des allures de tragédie shakespearienne.
Le scandale Rafale : une main dans le sac
Tout commence en 2016, sous la présidence de François Hollande. La France conclut un contrat juteux de 7,8 milliards d’euros pour vendre 36 avions Rafale à l’Inde. À l’époque, personne ne s’étonne que Reliance Entertainment, une filiale du groupe indien Reliance dirigé par Anil Ambani – partenaire clé dans ce deal –, injecte 1,65 million d’euros dans Tout là-haut, un film coproduit par Julie Gayet et sorti en 2017. Pure coïncidence, assure son avocat. Mais quand l’enquête sur des soupçons de corruption, trafic d’influence et blanchiment démarre en 2021, les regards se tournent vers ce financement suspect. Pis encore, on apprend que la France avait annulé un redressement fiscal de 143,7 millions d’euros pour une filiale de Reliance en 2015, pile pendant les négociations du contrat Rafale. Le timing est troublant.
En octobre 2024, Julie Gayet est convoquée en audition libre. Pas de mise en examen pour l’instant, mais le mal est fait : son nom est sali, associé à un scandale d’État. « Elle devient folle de rage », murmure-t-on dans son entourage. Non pas seulement à cause des accusations – qu’elle nie en bloc –, mais parce qu’elle se sent piégée, exposée, humiliée. Et qui en prend pour son grade chaque soir ? François Hollande, bien sûr.
François Hollande : « il se fait taper dessus tous les soirs »
Envie de lire la suite ?
Les articles d’APAR.TV en intégralité à partir de 9,99 €/mois
réservé aux abonnés payants.
Inscrivez-vous pour recevoir les newsletters dans votre boîte mail. Des tribunes et débats de société + Des contenus originaux + Une information alternative et prédictive