La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Des rumeurs qui avaient fait couler beaucoup d’encre. Une partie de l’affaire « Trogneux » a été jugée mardi 10 janvier au tribunal de Lisieux. Deux femmes devaient y répondre d’une plainte pour diffamation. Elles accusaient notamment Brigitte Macron d’être un homme, comme le rapporte Ouest-France.
Tout avait commencé lorsqu’une « médium » et une « journaliste indépendante » avaient diffusé sur YouTube une vidéo de quatre heures ayant pour but de démontrer que Brigitte Macron était en fait un homme transgenre prénommé Jean-Michel Trogneux.
De plus, la « journaliste » affirmait que la Première dame n’avait pas porté ses enfants mais qu’ils étaient en fait le fruit d’une relation précédente avec Catherine Auzière, femme de son oncle par alliance. Suite à cela, le couple Auzière avait porté plainte pour diffamation.
« On est en train de porter plainte »
Lors de l’audience, leurs avocats ont notamment prouvé que Catherine, accusée d’avoir porté les enfants de Brigitte Macron, était bel et bien en voyage lors de la naissance des enfants de la Première dame. À la suite de l’audience, le couple a exigé 20 000 euros de dommages et intérêts. Dans cette affaire, Brigitte Macron, son frère et ses enfants se sont portés partie civile. Le verdict devrait être rendu le 14 février prochain.
En parallèle, le 7 novembre dernier, le compte Twitter « Le journal de la macronie », avait lancé le hashtag #JeanMichelTrogneux qui a réuni plus de 65 000 mentions. Face à cela, Brigtitte Macron a porté plainte. « On est en train de porter plainte : c’est un petit peu long parce qu’il faut les captures d’écran, il faut l’intégralité des propos rapportés », a-t-elle déclaré sur le plateau de TF1 le 11 janvier dernier.
55 hommes, tous gardiens d’enfants, arrêtés pour pédocriminalité. La France, universellement surnommée "Pedoland", tremble sous le poids d’une vérité insoutenable : ceux qui devraient protéger nos enfants sont leurs pires bourreaux.
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