La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
« La petite fille en moi ne peut plus taire ce nom. » Dans une story postée sur son compte Instagram, qu’elle a rendu public samedi 6 janvier, Judith Godrèche a décidé de nommer le réalisateur Benoît Jacquot et de dénoncer publiquement « l’emprise » qu’il a exercée sur elle lorsqu’elle était adolescente. Sa relation, quand elle avait 14 ans, avec le cinéaste qui en avait 40 à l’époque, était déjà évoquée à mots couverts dans sa série Icon of French Cinema, diffusée sur Arte, et dans ses interviews pour en assurer la promotion. « On peut se faire prendre dans les filets d’une personne plus puissante et l’art est un tremplin extrêmement favorable à ça », déclarait-elle notamment dans un entretien publié par Elle.
Mais comme elle l’explique sur Instagram, Judith Godrèche avait choisi de ne « citer personne », par « peur que le sujet disparaisse derrière un nom ». Le visionnage d’un documentaire réalisé par Gérard Miller en 2011 l’a fait changer d’avis. « Je ne me serais probablement jamais exprimée de manière aussi personnelle sur ces réseaux si ce documentaire n’était tombé sous mes yeux », écrit-elle. « Non, Benoît Jacquot, une fille comme elle avait 14 ans, et non ça ne l’excitait pas », ajoute-t-elle au-dessus d’une image extraite de ce documentaire, dans lequel le réalisateur répond aux questions du psychanalyste.
« Je vais réfléchir. Où, quand, comment tout dire »
Dans cet extrait, également posté sur le réseau social X par la journaliste et écrivaine Hélène Devynck, l’une des plaignantes de l’affaire PPDA, Benoît Jacquot reconnaît que sa relation avec Judith Godrèche – dont il affirme qu’elle avait 15 ans, l’âge de la majorité sexuelle en France, et non 14 –, était une « transgression » mais qu’« elle n’en avait rien à foutre » et que « même elle, ça l’excitait beaucoup ». Il ajoute que le cinéma permet d’obtenir « une sorte de couverture pour des mœurs de ce type-là ».
Dans cette série de messages postés sur Instagram, Judith Godrèche sous-entend qu’elle s’apprête à en dire plus. « Je vais réfléchir. Où, quand, comment tout dire », annonce-t-elle, soulignant avoir « peur de ne plus travailler, de ne pas être soutenue. Mais je me dois de le faire pour nos filles, nos petites sœurs », poursuit l’actrice. La comédienne affirme que le cinéaste, aujourd’hui âgé de 76 ans, « menace » de la « traîner en justice pour diffamation ».
« Alors voilà, je vous autorise à reposter, twitter, Facebooker, tagguer, publier, crier tout ce que je viens d’écrire. Faites-le », enjoint encore Judith Godrèche.
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