55 hommes, tous gardiens d’enfants, arrêtés pour pédocriminalité. La France, universellement surnommée "Pedoland", tremble sous le poids d’une vérité insoutenable : ceux qui devraient protéger nos enfants sont leurs pires bourreaux.
Depuis le 15 mai 2025, l’avocat et activiste franco-espagnol Juan Branco est hospitalisé à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC), où il lutte contre une infection rare et potentiellement mortelle de type streptocoque du groupe A (SGA) invasif.
L’affaire Juan Branco prend une tournure de plus en plus inquiétante. Hospitalisé depuis trois jours, soit depuis le 15 mai 2025, l’avocat et écrivain français lutte contre les effets d’un empoisonnement présumé par des streptocoques du groupe A (SGA) invasifs, une méthode rare et sophistiquée.
Juan Branco hospitalisé à Kinshasa : enquête mêlant empoisonnement présumé et tensions géopolitiques
Depuis le 15 mai 2025, l’avocat et activiste franco-espagnol Juan Branco est hospitalisé à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC), où il lutte contre une infection rare et potentiellement mortelle de type streptocoque du groupe A (SGA) invasif.
Cet incident, survenu dans des circonstances troublantes, a suscité des soupçons d’empoisonnement volontaire, alimentés par ses récentes déclarations sur des activités d’espionnage marocain contre le président français Emmanuel Macron. Alors que des mesures de sécurité draconiennes entourent son hospitalisation, des fuites de vidéos et photos compromettantes, ainsi qu’un silence médiatique imposé en France, renforcent les suspicions autour de cette affaire. Voici ce que l’on sait à ce jour.
Une infection soudaine en plein vol
Le 15 mai 2025, Juan Branco, connu pour ses critiques virulentes des relations franco-africaines et des élites politiques, s’envole pour Kinshasa. Sa mission : soutenir des victimes de crimes de guerre en RDC. Selon des témoignages de personnel relayés dans des rapports non officiels, il est pris d’une fièvre et de difficultés respiratoires soudaines pendant le vol, symptômes suggérant une contamination avant son départ, donc sur le sol français.
Quelques minutes après son arrivée à Kinshasa, il est transféré dans un hôpital du centre-ville. Alors qu’il est initialement pris en charge pour des symptômes d’apparence bénigne, son état s’aggrave rapidement. Les premiers examens médicaux diagnostiquent une double infection virale et bactériologique, avec un risque élevé de septicémie, une infection systémique potentiellement mortelle. Dès le lendemain, 16 mai, son état nécessite une prise en charge en soins intensifs. À ce jour, Branco reste hospitalisé.
Soupçons d’empoisonnement : un contexte politique explosif
Malgré la similitude des symptômes avec le SGA invasif, les cultures bactériologiques n’ont pas permis d’identifier un agent pathogène connu, ce qui renforce les suspicions d’un empoisonnement volontaire. Plusieurs éléments alimentent cette hypothèse. Tout d’abord, la rapidité et la gravité des symptômes : une infection à SGA invasif nécessite généralement un contact direct avec une source contaminée, ce qui est improbable dans un aéroport ou un avion. Ensuite, le contexte politique : Branco a récemment affirmé, lors d’un entretien avec la chaîne Thinkerview, détenir des informations sur des activités d’espionnage marocain ciblant Emmanuel Macron. Ces déclarations, reprises par le média espagnol La Gaceta ce 19 mai 2025, ont fait l’effet d’une bombe.
Branco, déjà connu pour son livre Crépuscule (2019), où il critique ouvertement Macron et les élites françaises, s’est forgé de nombreux ennemis. Il a fait l’objet de multiples tentatives de déstabilisation, y compris une tentative d’emprisonnement à perpétuité au Sénégal après un enlèvement en Mauritanie. Ses révélations sur l’espionnage marocain, si elles sont avérées, pourraient avoir motivé une action ciblée. Le Dr Marie-Claire Durand, microbiologiste à l’hôpital Necker de Paris, interrogée dans un contexte hypothétique, souligne que « manipuler une souche de SGA pour en faire une arme biologique est techniquement possible, mais cela nécessite une expertise et des moyens conséquents ». Une analyse des échantillons biologiques de Branco est en cours pour détecter une éventuelle modification génétique de la bactérie, mais les résultats ne sont pas encore disponibles.
Mesures de sécurité draconiennes et fuites troublantes
Dès le 16 mai, l’hôpital de Kinshasa met en place des mesures de sécurité exceptionnelles : surveillance 24 heures sur 24, interdiction formelle d’accès à toute personne extérieure et contrôle strict des communications entrantes et sortantes. La présence constante d’un agent des Renseignements généraux dans la chambre de Branco renforce l’idée que cette affaire dépasse le cadre médical. Ces précautions pourraient viser à protéger l’avocat d’une nouvelle attaque ou à empêcher la fuite d’informations sensibles qu’il détiendrait.
Pourtant, un événement troublant compromet cette sécurité : des vidéos et photos de Branco dans son lit d’hôpital ont été divulguées, prétendument volées par des agents peu scrupuleux. Ces images, qui exposent l’avocat dans un état de vulnérabilité, soulèvent de sérieuses questions sur l’intégrité des services impliqués. S’agit-il d’une faille dans le dispositif de sécurité ou d’une tentative délibérée de discréditer Branco ? La police congolaise a ouvert une enquête pour identifier les responsables, mais aucune information officielle n’a été communiquée à ce jour.
Silence médiatique en France : une censure imposée ?
Un autre aspect intrigue : le silence des médias mainstream français. Selon des sources internes non confirmées, les rédactions françaises ont reçu l’interdiction de couvrir l’affaire sans une autorisation écrite directe de l’Élysée. Les journalistes n’ont été autorisés qu’à préparer une nécrologie en cas de décès de Branco, une restriction qui alimente les soupçons de censure. Ce mutisme contraste avec la couverture internationale, notamment en Espagne, où La Gaceta a relayé les déclarations de Branco sur l’espionnage marocain.
Une enquête aux ramifications géopolitiques
Si l’hypothèse d’un empoisonnement volontaire se confirme, elle pourrait révéler une nouvelle forme de guerre biologique ciblée, utilisée pour réduire au silence les opposants. Les tensions entre la France et le Maroc, évoquées par Branco, ajoutent une dimension géopolitique : ses révélations sur l’espionnage marocain pourraient avoir déclenché une réaction visant à le neutraliser. Par ailleurs, son travail en RDC auprès des victimes de crimes de guerre le place au cœur de dynamiques sensibles dans la région des Grands Lacs.
Les enquêtes française et congolaise, en cours, devront répondre à plusieurs questions : la souche de SGA a-t-elle été manipulée ? Qui est derrière les fuites de vidéos et photos ? Pourquoi Branco n’a-t-il pas été rapatrié en France, malgré son état critique ? Enfin, les restrictions imposées aux médias français suggèrent une volonté de contrôler le récit, mais à quel prix pour la transparence ?
Ce que l’on sait à ce jour
En ce lundi 19 mai 2025 à 15h44 CEST, Juan Branco est toujours hospitalisé à Kinshasa, sous surveillance médicale et sécuritaire. Son infection, qui fait écho à un SGA invasif, contractée en France avant son départ, pourrait être le résultat d’un acte intentionnel, bien que cela reste à prouver. Les mesures de sécurité, les fuites de vidéos et photos, et le silence médiatique en France soulignent la sensibilité de cette affaire, qui mêle santé publique, politique et géopolitique. Alors que les investigations se poursuivent, cette histoire continue de captiver et d’inquiéter, révélant les vulnérabilités des figures publiques dans un monde où les luttes de pouvoir se jouent parfois dans l’ombre.
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