La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Josh Cole est venu à la photo par obligation. Voilà comment il décrit lui-même son parcours. « Après l’école, j’ai passé 7 ans à faire de sales boulots et à m’attirer des ennuis. Quand les ennuis sont devenus trop importants, j’ai décidé de devenir photographe. En 1997, à 23 ans, j’ai donc passé mon diplôme« . Josh Cole est un homme de la rue. Des rues anglaises. De celles où les adolescentes sont mères, où les gangs sont loin du folklore américain pour une efficacité toute britannique, où la pauvreté atteint des seuils du tiers monde. En 2011, il se lance dans la réalisation. Prolifique. Et comme tous les artistes, Josh Cole parle de ce qu’il connaît le mieux.
Cette authenticité, Josh Cole est l’un des rares à la porter naturellement avec lui. Pas de mode, pas de tendance, pas d’influence extérieure, Josh Cole est dans le vrai. Pour preuve son film sur la danse. Alors, oui, vous nous direz « facile, la danse est partout« . C’est vrai. Sauf que Josh, lui, la film là où personne ne l’a vue (et sans Benjamin Millepied). Une street danse dans des zones tout sauf urbaines. La danse et la pauvreté, loin des opéras et des tutus. là où la danse prend un sens vital.
Ses vidéos devraient introduire rapidement le Britannique dans le monde des films publicitaires. Un monde qu’il a déjà longuement côtoyé par ses photos.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.