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José Garcia : « Quand on veut rentrer dans une dictature, la première chose qu’on enlève, c’est l’humour »

José Garcia : « Quand on veut rentrer dans une dictature, la première chose qu’on enlève, c’est l’humour »
“ Quand une société va bien, il y a beaucoup d’humour. ”

José Garcia : « Quand une société va bien, il y a beaucoup d’humour. »
Déborah Grunwald : « C’est vrai. »
José Garcia : « Ce que je trouve très scandaleux maintenant, c’est que tout a été fait pour l’enlever. » Déborah Grunwald : « L’humour ? »
José Garcia : « L’humour, non, Mais le fait de… Ce principe, vous avez, de choquer. Vous ne pouvez pas remettre en cause leur manière de penser. »

Voir la vidéo ici.


“ De nos jours on nous empêche de rire ensemble. ”

José Garcia : « C’est ça qui m’inquiète. Et l’humour, c’est ça. C’est-à-dire qu’on était capable de sortir des ignominies à des gens qui devaient les consommer. Et en riant, on riait aussi de nous-même, et on riait d’abord de nous-mêmes. Et de nos jours, on nous empêche, tout d’un coup, de rire ensemble. Et ça, c’est très douteux, parce que c’est comme ça qu’une société va bien. » Déborah Grunwald : « Ça veut dire qu’on manque d’humour alors aujourd’hui ? » José Garcia : « Non, on ne manque pas d’humour, mais il est écrasé, il est interdit, par une espèce de nombre de choses qui font que… »

“ Quand on veut rentrer dans une d*ctature, la première chose qu’on enlève c’est l’humour. ”

José Garcia : « Je vous dis, quand on veut rentrer dans une dictature, la première chose qu’on enlève c’est l’humour. Et il y a une sorte de dictature. Après, elle a 10 000 raisons, 10 000 façons d’être. On est rentrés dans une société où, vous voyez, même la classe politique est devenue d’une violence, d’un côté ordurier absolument dément dans le monde entier. Ce n’est pas un seul pays ou une ambiance en France, c’est partout. C’est parce que quelqu’un qui commence à rire d’une situation qui est d’ailleurs grotesque remet en cause le pouvoir de la personne. »

Source : https://francebleu.fr


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