638 000 dollars, des dîners annuels, une mailing-list privée avec Musk, Bezos, Brin, Page, Gates et Zuckerberg. Pendant que la décennie où il recrutait des mineures, Jeffrey Epstein était le plus gros donateur du think tank le plus prestigieux de la tech mondiale.
Imaginez un instant : nous sommes en 2026, et Macron, lassé des critiques acerbes sur les réseaux sociaux, décide de franchir le Rubicon numérique. Inspiré non pas par les Lumières, mais par Pékin, il déploie un arsenal high-tech pour "protéger la démocratie républicaine".
En ce début décembre 2025, alors que l’hiver s’installe avec son cortège de froid et de repli, une nouvelle affaire secoue les fondations déjà fissurées de la magistrature française.
Johnny, le rockeur diabolique : pacte signé, âme brûlée
Imaginez : un taulier en cuir, micro en main, hurlant "Que je t'aime" à la face du monde. Et si, derrière le sourire carnassier, Johnny Hallyday avait troqué son âme contre des spotlights éternels ? Un pacte avec le diable, chuchoté à un confident.
Johnny. Icône. Dieu du twist. Il dansait sur nos tombes avant qu'on meure. Et si son swing venait des bas-fonds ? François Jouffa, journaliste, pote de l'ombre, lâche la bombe en 2018 sur RMC.
Johnny, sérieux comme un curé en crise, confie : "J'ai signé un pacte avec le diable. J'irai en enfer." Pas de clin d'œil. Pas de blague rock'n'roll. Juste un regard hanté, un rocker piégé dans son propre refrain.
Le journaliste François Jouffa, qui a été un proche de Johnny Hallyday, a révélé sur RMC (Radio Brunet) le 19 octobre 2018 comment ce dernier lui a confié le plus sérieusement du monde qu'il avait :
« signé un pacte avec le diable et qu'il irait en enfer »
Riez, l'Europe moderne ricane. L'homme "éclairé" – ce crétin auto-proclamé – balaie d'un haussement d'épaules. Satan ? Relique de midinettes. Mais creusez, les amis.
Johnny, ce gamin des faubourgs, galère dans les limbes des cabarets obscurs. Années 60. Le désert. Puis, boom : gloire. Disques d'or. Foules en transe. Comme si un feu follet l'avait embrassé. Ou un cornu, avec cornes en contrat.
Adeline Blondieau, sa première "femme", en rit jaune. À cinq ans, déjà, il tournoyait autour d'elle – ombre vorace, gamin prédateur. YouTube en garde trace : une vidéo qui gratte l'âme, où l'innocence flirte avec l'abîme.
Était-ce le diable qui l'attirait vers les chairs tendres ? Ou juste un homme, brisé tôt, cherchant lumière dans le vice ?
Et les échos ? Bob Dylan, ce barbu mystique, murmure le même secret : pacte scellé pour rimes immortelles. Les idoles du système, dit-on sur X, crachent la vérité en fin de course.
Comme si la gloire, cette pute en strass, exigeait tribut. Johnny, lui, termine en beauté – ou en laideur ? Sa dernière chanson : J'en parlerai au diable. Ironie ? Aveu ? Le taulier, usé, négocie une clause de sortie. Trop tard. L'enfer l'attend, micros éteints.
Subversif, hein ? Dans un monde où l'on vend son âme à l'algorithme, Johnny nous rappelle : le diable paie cash, mais en billets maudits. Rire ou trembler ?
Choisissez. Moi, je danse. Sur sa tombe. Avec un clin d'œil au Cornu. Car la société, cette grande illusion, adore ses martyrs rockers. Pacte ou pas, Johnny nous a tous ensorcelés. Et si c'était nous, les damnés ?
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