La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Il est l’homme qui vous rend amoureux des femmes. Pas seulement admiratif(ve) de leurs courbes, pas seulement hypnotisé(e) par leurs regards, non, totalement amoureux. Elles s’appellent Marina, Tatiana, Rebecca, Mélissa, Sarah, Justine, Michea, Anna et Kristy. Ce n’est pas l’annuaire d’une agence de rencontres pour VRP solitaires, mais les femmes que vous allez aimer. Neuf portraits, sans un mot, mais qui vous rendront instantanément accrocs.
Ce silence, ce jeu de netteté et de flou, c’est la marque de fabrique de Joe Wehner. Une sorte de passion étouffée comme un ébat sous une couette d’hiver. Joe Wehner filme ces femmes presque avec timidité. Un respect immense teinté de ce désir non-dit. C’est que, chez le réalisateur, il y a plus que le corps. Il y a la souffrance de l’amour. Cette relation toujours douloureuse. Même dans le bonheur. C’est ce que montre son court métrage The Art of Thaphonomy (la taphonomie étudie les processus de fossilisation des organismes après leur mort). Un amour. Une maladie. Une douleur. Une fin. 17 minutes sans dialogue et sans musique. Filmées au plus près. Presque collées aux personnages. Une véritable mise à nue de l’intimité. Parce que c’est ce que fait Joe Wehner : il met ses sujets à nus, au point que parfois, on en oublie leur corps.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.