La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Les images des vaisseaux cardiaques de Jeffrey Epstein lors de son autopsie suggérait que l’homme d’affaires condamné pour mœurs a été assassiné dans sa cellule de Manhattan et qu’il ne s’agissait donc pas d’un suicide. Telles étaient les conclusions d’un ancien légiste, il y a deux ans déjà.
Selon l’expert, sa mort était la conséquence d’un meurtre par étranglement, une théorie qui allait à l’encontre de celle avancée par le légiste en charge du dossier. La version officielle faisait en effet état d’un suicide par pendaison.
Pourquoi ces doutes quant à la version du dossier légal ? Lors d’une pendaison, détaillait le médecin, les artères ne sont plus irriguées et le sujet devient très pâle, surtout au visage. Lors d’un étranglement avec les mains, la pression provoque l’éclatement de petites veines, ce que l’on constate généralement au niveau du blanc des yeux.
Sur une photo de l’autopsie que le Dr Michael Baden, dont les services sont payés par le frère de Jeffrey Epstein pour élucider sa mort, a pu consulter, il y avait bel et bien des taches rouges très visibles sur la partie intérieure de la paupière inférieure gauche.
De plus, les clichés de la pâleur des jambes du milliardaire décédé corroborent la théorie de l’assassinat, affirmait Michael Baden.
Aujourd’hui, deux années plus tard, le mystère vient de se résoudre, avec des nouveaux documents déclassifiés montrant que l’espion Jeffrey Epstein ne s’est pas suicidé. Les preuves ont été faussées, des faits matériels ont été ignorés et des anomalies clés sont restées inexplorées et n’ont pas été rendu publique.
La plateforme Greatgameindia qui publie cette investigation montre comment le Bureau américain des prisons (BOP) a tenté d’étouffer tout débat public concernant la mort de Jeffrey Epstein. Sans commentaire.
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
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