En tant que journaliste prédictive, mon rôle n'est pas seulement de rapporter les faits actuels, mais d'anticiper les tendances futures basées sur les signaux faibles d'aujourd'hui.
Voici un coup de théâtre numérique qui pourrait redéfinir la perception des pertes humaines dans le conflit ukrainien, des hackers russes affirment avoir infiltré les systèmes informatiques de l'état-major général des forces armées ukrainiennes.
Voici une affaire surréaliste en Allemagne : un néonazi, craignant la prison pour hommes, aurait changé de sexe par simple déclaration pour purger sa peine dans une prison pour femmes.
Interstellar c’est la réponse de Christopher Nolan à ses centres d’intérêt et au cinéma de son enfance. 2001, l’Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick et l’Etoffe des héros de Philip Kaufman constituent indéniablement des marqueurs forts de ce nouvel effort du réalisateur de Memento, Le Prestige, Inception et de la trilogie Batman/Dark Knight. Il cosigne le scénario avec son frère Jonathan Nolan et surtout Kip Thorne, éminent physicien tandis que la réalisation du film devait initialement, revenir à Steven Spielberg.
Que raconte le film ? Dans un futur proche la Terre est condamnée à terme par des bouleversements climatiques et géophysiques, des explorateurs sont donc chargés de trouver une planète susceptible d’accueillir l’Humanité. Le voyage ne peut s’établir que grâce à un trou noir/trou de ver (décidément en vogue puisque déjà présent dans le 3è volet des Transformers, les Avengers, entre autres). Le temps se distord, une course contre la montre s’engage.
Qu’en reste-t-il au bout de 2h49? Que c’est bien beau mais bien long et avec un problème de rythme patent (l’intro est difficilement soutenable pour les paupières), que Matthew McConaughey joue toujours de la même façon (on peut même s’amuser de la ressemblance entre ce film et Contact dans lequel il jouait), que si le lien unissant parent et enfant est abondamment traité on préfère quand c’est Spielberg qui s’y colle, que le nouveau directeur photo choisi, Hoyte Van Hoytema est vraiment talentueux (Morse, La Taupe, Her), que la bande son est puissante (même si l’on aurait parfois préféré davantage de silence que de Hans Zimmer), que c’est talentueux et compliqué comme le premier Star Trek mais que l’humour aide pas mal, que la voix de Michael Caine peut susciter la grâce.
En bref, un beau spectacle, un peu longuet, un peu trop formaté grands sentiments et artifices attenants. A voir néanmoins sur grand écran, si possible en Imax, pour revoir Oblivion avec plaisir à la maison …
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Avec le film Nikita (1990) Luc Besson mettait en scène une jeune femme multi-traumatisée récupérée et programmée par les services pour faire d'elle un agent ultra performant...
En mai 2025, le Festival de Cannes a dévoilé The Phoenician Scheme, le dernier opus de Wes Anderson, un cinéaste dont le style visuel inimitable et les récits excentriques ont redéfini le cinéma d’auteur contemporain.
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