Publicité - Pour consulter le média sans publicité, inscrivez-vous



Publicité - Pour consulter le média sans publicité, inscrivez-vous


Interstellar : Un trou noir parsemé d’éclairs de génie

Interstellar : Un trou noir parsemé d’éclairs de génie

Interstellar c’est la réponse de Christopher Nolan à ses centres d’intérêt et au cinéma de son enfance.
2001, l’Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick et l’Etoffe des héros de Philip Kaufman constituent indéniablement des marqueurs forts de ce nouvel effort du réalisateur de Memento, Le Prestige, Inception et de la trilogie Batman/Dark Knight.
Il cosigne le scénario avec son frère Jonathan Nolan et surtout Kip Thorne, éminent physicien tandis que la réalisation du film devait initialement, revenir à Steven Spielberg.

Que raconte le film ? Dans un futur proche la Terre est condamnée à terme par des bouleversements climatiques et géophysiques, des explorateurs sont donc chargés de trouver une planète susceptible d’accueillir l’Humanité.
Le voyage ne peut s’établir que grâce à un trou noir/trou de ver (décidément en vogue puisque déjà présent dans le 3è volet des Transformers, les Avengers, entre autres).
Le temps se distord, une course contre la montre s’engage.

Qu’en reste-t-il au bout de 2h49?
Que c’est bien beau mais bien long et avec un problème de rythme patent (l’intro est difficilement soutenable pour les paupières), que Matthew McConaughey joue toujours de la même façon (on peut même s’amuser de la ressemblance entre ce film et Contact dans lequel il jouait), que si le lien unissant parent et enfant est abondamment traité on préfère quand c’est Spielberg qui s’y colle, que le nouveau directeur photo choisi, Hoyte Van Hoytema est vraiment talentueux (Morse, La Taupe, Her), que la bande son est puissante (même si l’on aurait parfois préféré davantage de silence que de Hans Zimmer), que c’est talentueux et compliqué comme le premier Star Trek mais que l’humour aide pas mal, que la voix de Michael Caine peut susciter la grâce.

En bref, un beau spectacle, un peu longuet, un peu trop formaté grands sentiments et artifices attenants. A voir néanmoins sur grand écran, si possible en Imax, pour revoir Oblivion avec plaisir à la maison …

158828.jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx
161819.jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx
171643.jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx
349005.jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx


@alexfake


Publicité - Pour consulter le média sans publicité, inscrivez-vous



Publicité - Pour consulter le média sans publicité, inscrivez-vous


Génial ! Vous vous êtes inscrit avec succès.

Bienvenue de retour ! Vous vous êtes connecté avec succès.

Vous êtes abonné avec succès à APAR.TV.

Succès ! Vérifiez votre e-mail pour obtenir le lien magique de connexion.

Succès ! Vos informations de facturation ont été mises à jour.

Votre facturation n'a pas été mise à jour.