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En ce début d’automne 2025, alors que les feuilles commencent à jaunir en Occident, un vent de changement souffle avec force depuis l’Orient. Je suis Mary Josephson, et depuis des années, j’observe les plaques tectoniques de la géopolitique mondiale se déplacer sous nos pieds.
Imaginez : 511 milliards de barils de pétrole, un océan noir sous la blancheur immaculée, équivalent à dix fois la production totale de la mer du Nord sur un demi-siècle.
Voici les premières images d’un court-métrage à venir qui nous a tapé dans l’oeil. Réalisé à Tokyo par Jean-Baptiste Braud, In the Still Night, est le fruit de la rencontre de 3 cultures chères au réalisateur qui navigue entre la France, le Japon et les Etats-Unis.
Au casting, Eric Wareheim, acteur brillant issu de l’humour underground new-yorkais (vu notamment dans la série Netflix Master of None d’Aziz Ansari et Alan Yang et dans Réalité et Wrong Cops de Quentin Dupieux) et
Saki Asamiya, mannequin japonaise qui incarne pour la première fois à l’écran une femme mystérieuse à la beauté hypnotique.
Le pitch du film :
Matthew Hyla, un curateur d’art américain séjournant à l’Hôtel Gajoen Tokyo entre les murs duquel il organise une exposition de jeunes artistes. Distrait et blessé par une rupture amoureuse toute récente, désorienté par sa compréhension très limitée du japonais, Matthew se perd vite dans le dédale des couloirs couverts de chefs-d’œuvre japonais datant de l’ère Showa. Désormais seul, il promène son cœur brisé à travers ce labyrinthe d’œuvres d’arts et se laisse emporter par la rêverie… jusqu’à faire une rencontre surréelle, de celles qui marquent pour toujours.
Quand la nuit seule fait rage…
les premiers mots du teaser résonnent comme une promesse qui présage un film mystérieux et singulier. La fille, l’hôtel, l’américain, le japon, tout y est mais nous sommes pourtant loin du normatif Lost In Translation. Ici règne l’inquiétante étrangeté, des regards, des dédales de couloirs et d’escaliers feutrés qui rappellent l’atmosphère de la « red room » dans Twin Peaks, la boite de Pandore de Mullohland Drive ou encore l’absurde théâtre filmé de Luis Bunuel.
Ce film de quinze minutes, où les regards, et le silence assourdissant d’aimer comptent autant que les mots sera bientôt à découvrir en intégralité.
In the Still Night Written and directed by Jean-Baptiste Braud
Starring: Eric Wareheim and Saki Asamiya Franco-Japanese production (Pen Films / Braud Films in association with Noise Gate Circus) 15 minutes
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
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