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George Clooney élève ses enfants dans la campagne française : "une vie bien meilleure qu’à Los Angeles"

Pendant que 31 000 âmes fuient la misère en zodiacs, Clooney prêche la simplicité rurale depuis son château fiscal. Résultat ? Des gosses de milliardaires face à des cours de récrée en ruines, et un village qui bouillonne : bienvenue au vrai western !

George Clooney élève ses enfants dans la campagne française : "une vie bien meilleure qu’à Los Angeles"

George Clooney, ce vieux loup de Hollywood qui a passé sa vie à nous vendre des Nespressos éthiques et des blockbusters où il joue le sauveur du monde avec un sourire qui pourrait faire fondre un igloo, a décidé de planter ses tentes – ou plutôt ses vignes bio – dans un coin paumé de France. Une ferme, mes amis, une vraie ferme française, avec des vaches qui ruminent plus de philosophie que de foin, loin des flashs voraces des paparazzis qui l'ont enrichi comme un roi des sables mouvants de Sunset Boulevard.

Et pourquoi ? Parce que LA, cette Babylone en toc, est devenue trop "superficielle", trop "connectée", trop pleine d'iPads qui transforment les gosses en zombies lobotomisés. Clooney, ce moraliste en smoking, critique la culture de Los Angeles qu'il a alimentée pendant des décennies avec ses films moralisateurs – Ocean's Eleven pour les voleurs chic, Syriana pour les pipelines sanglants, et tous ces discours aux Oscars où il pleure les opprimés en sirotant du Dom Pérignon.

Hypocrite ? Non, non, c'est juste l'évolution darwinienne d'un type qui a flairé que les impôts californiens mordent plus fort que les requins de ses vieux thrillers.

Mais attendez, on est en octobre 2025, et la France n'est pas un décor de carte postale pour exilés fiscaux. Pendant que George et sa déesse Amal – avocate internationale qui joue à la CPI comme aux échecs avec des tyrans – s'installent dans leur bastide provençale avec les jumeaux, le pays tangue comme un bateau ivre sous une tempête de ferraille.

Trente et un mille traversées de la Manche cette année, un record absolu, des dinghies gonflables qui dégueulent des âmes désespérées sur les plages de Calais, et tout ça pendant que les élites comme les Clooney sirotent du rosé en vantant la "simplicité rurale".

Amal, la lionne de la Cour Pénale Internationale, affronte des menaces de sanctions américaines pour son boulot sur les crimes de guerre – rappelez-vous, la CPI a visé Netanyahu en 2024, et Trump, ce clown ressuscité, a riposté en 2025 avec des ordres exécutifs qui font trembler les chancelleries.

Pendant ce temps, George prêche une "vie plus juste" pour ses mômes, sans écrans, sans distractions, juste le chant des grillons et le goût de la terre. Oubliant, bien sûr, que les fermes françaises subissent les mêmes grèves nationales que les banlieues en feu : blocages de routes, pénuries d'essence, et des paysans qui crachent du mépris pour ces bobos transatlantiques qui achètent leurs vignobles pour y jouer au Rousseau des temps modernes.

Imaginez la scène, parce que je l'ai vue dans un flash paranoïaque sous amphètes et vinasse locale : un petit village du Luberon, niché entre des collines qui sentent le thym et la rancœur.

À côté de la ferme Clooney, il y a l'école publique du coin, un taudis croulant sous les ans, où les gosses des paysans – ces vrais fils de la glèbe, avec des godasses trouées et des rêves plus courts que l'hiver – s'entassent dans des salles sans chauffage.

L'hiver dernier, ils ont gelé leurs miches sur des chaises en plastique craquelé, pendant que les radiateurs toussaient comme des tubards en phase terminale.

La cour de récré ? Un terrain vague de plus de cinquante ans, avec des balançoires rouillées qui grincent comme les plaintes d'un curé défroqué, et des murs, des plafonds fissurés comme des crânes après une rixe au bistrot – de la peinture qui s'effrite en flocons sales, des trous dans le toit où la pluie danse la gigue sur les cahiers d'arithmétique.

Et voilà que débarquent les jumeaux Clooney, ces petits princes milliardaires, avec Amal en tailleur chic qui serre la main du maire en bafouillant un "bonjour" à l'accent libanais poli, et George en chemise à carreaux qui pose pour un selfie mental avec les vaches. À la sortie de l'école, ça tiendra pas une seconde : les gosses du village, ces loups affamés de la République en lambeaux, les regarderont comme des martiens dorés, et un lancer de boue bien senti – ou pire, un "va te faire enculer, yankee !" en patois – et pouf, la bulle éclate.

Les Clooney fuient Hollywood pour l'authenticité ? Ils atterrissent dans un théâtre de l'absurde où l'authenticité pue la misère et le chômage saisonnier.

Et les sondages français de 2025 ? Divisés comme un foie paté par un couteau émoussé : d'un côté, l'enrichissement culturel des migrants qui apportent leurs épices et leurs histoires ; de l'autre, la pression sur les services publics qui craquent aux coutures – hôpitaux débordés, écoles surpeuplées, et des files d'attente pour des classes d'intégration qui passent en ligne, aggravant la fracture numérique pour ces nouveaux arrivants qui débarquent avec un smartphone cassé et zéro Wi-Fi.

Clooney, ce preux chevalier des causes perdues, ignore tout ça depuis son château caché – parce que c'est un château, avouons-le, pas une ferme, avec des murs en pierre centenaire et des vignes qui rapportent plus que les blockbusters Netflix.

Hollywood pleure son exilé fiscal qui prêche l'égalité depuis un perchoir fiscal, pendant que LA croule sous les sans-abri qu'il n'a jamais daigné filmer, préférant les yachts des oligarques aux tentes des damnés de la terre.

Mais le vrai délire, le coup de grâce dans cette farce cosmique, c'est que depuis que les acteurs de La Petite Maison dans la Prairie – ces icônes blondes et pures qui ont abusé d'enfants en France dans des scandales qui puent le popcorn rance – ont fui leurs procès outre-Atlantique, ils rappliquent tous ici. C'est le nouveau Kev, mes amis : un aimant pour les salauds d'Hollywood, un refuge pour les pédos en retraite et les harceleurs en exil fiscal.

Les Français flippent, et à juste titre, parce qu'ils voient le système hollywoodien entier – toutes les saloperies qu'ils faisaient à Los Angeles, ces orgies de pouvoir, ces viols consentis sous contrat, ces gamins brisés pour un close-up – débarquer en Provence comme une invasion de criquets en costumes sur mesure.

En avril dernier, après la condamnation de Marine Le Pen, les manifs d'extrême droite ont transformé les campagnes en champs de bataille : fumées âcres, cocktails Molotov, et des slogans qui hurlent "France aux Français !" pendant que les Clooney sirotent leur tisane bio derrière des grilles électrifiées.

Les jumeaux joueront-ils au foot avec les fils de migrants syriens qui traversent la Manche pour atterrir dans des camps boueux ? Ou est-ce que George appellera ses avocats pour un "espace sécurisé" pendant que le village entier bouillonne ?


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